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  • A lire dans l'hebdomadaire Le Point : la gestion catastrophique des cantines scolaires du 12e

    "C'est une des dernières patates chaudes que Bertrand Delanoë a refilées à Anne Hidalgo. Fraîchement élue, la maire du 12e arrondissement de Paris, Catherine Baratti-Elbaz, a été obligée de virer discrètement le patron de la caisse des écoles du 12e arrondissement de Paris, Jean-Jacques Hazan. Décrié de rapport en rapport pour sa gestion calamiteuse, l'homme avait déjà quitté il y a quelques mois ses fonctions de président de la Fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) à la suite de dissensions internes. Heureusement, le parti socialiste n'est pas rancunier. C'est ainsi que, par décret du 18 avril 2014, juste avant son départ précipité, Jean-Jacques Hazan est devenu... chevalier de la Légion d'honneur ! "Ce sont deux choses distinctes. Ce n'est pas nous qui attribuons les médailles, se défend-on au cabinet de la maire de Paris. C'est un organisme indépendant de la Ville de Paris qui possède la personnalité morale. La mairie n'avait pas à connaître particulièrement sa gestion. C'est à l'occasion d'un dialogue de gestion entre 2012 et 2013 que nous nous sommes rendu compte d'un certain nombre d'irrégularités."

    Lire l'article intégral du Point (15 septembre 2014)

     

  • Paris doit digitaliser ses services pour la vie quotidienne et développer son attractivité numérique

    num.jpgParis est une ville en retard sur l’utilisation et l’optimisation des nouvelles technologies et plus généralement, sur le digital. En effet, alors que la ville de Londres vient d’embaucher l’ancienne patronne de Facebook Europe pour s’occuper de l’attractivité de son territoire en matière d’innovation, que New-York s’est adjoint les services de Rachel HAOT, égérie 2.0, aux commandes de la destinée digitale de cette ville, Paris reste sur le bord du chemin. Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville.  

    En ce qui concerne Paris, ce qui est finalement regrettable, c’est à la fois le manque d’ambition mais surtout de vision de l’actuelle majorité dans ce domaine. Une étude récente montre, par exemple, que la ville de Paris est classé 5eme sur l’utilisation de twitter…. Angers étant à la tête de ce classement.

    2 axes peuvent et doivent être développés : la vie quotidienne et l’attractivité de la capitale pour l’e-commerce et les start-up.

    Au-delà de son utilisation, le digital est aujourd’hui un enjeu concernant notre vie quotidienne, les usages et l’attractivité. C’est surtout la ville de demain que nous pouvons construire. Alors oui, il existe ici ou là des initiatives. Mais nous considérons que le digital doit être au cœur de toutes les démarches et non pas géré à côté. Un tel écosystème doit instaurer un nouveau rapport entre les citadins et l’espace public, sa vie quotidienne. Il peut par exemple s’agir  d’une application via son téléphone portable afin de prévenir les services municipaux pour qu’ils interviennent pour signaler l’endommagement de panneaux routiers, l’apparition de nids de poule sur la chaussée,  un éclairage défectueux dans les rues…. Mais aussi  connecter les étudiants à des sites de jeunesse, trouver une activité lorsque les parisiens  ne sont pas chez eux ou sont sur le point de sortir et aussi obtenir des informations de nature touristique.

    En matière économique et d’attractivité, dans un marché numérique dominé par les réseaux sociaux, les applications mobiles et l'e-commerce, Paris doit enfin s'imposer comme un nouvel eldorado pour les start-up du secteur. La ville peut très bien lancer plusieurs programmes  ayant pour objectif le développement d’applications liés à Paris et au Grand Paris. Ce projet pourrait répondre à une double volonté : inciter les jeunes à penser très tôt à  l'entrepreneuriat et créer des vocations. L’idée est donc de les motiver pour venir s’installer à Paris, dans des lieux dédiés.

    Enfin, le numérique est un levier essentiel de l’attractivité et du développement du Grand Paris. C’est un enjeu de compétitivité, déjà bien compris par d’autres capitales européennes. En 2014, il sera donc temps de mettre le digital au cœur du projet pour Paris… pour les parisiens !

  • Les maires à la traîne sur le Web 2.0

    A lire, une étude très intéressante sur le lien web/élus sur le site d’Acteurs public.

    Les élus municipaux sont encore très peu tournés vers l'Internet participatif, à la différence du grand public, selon une étude réalisée par l'Ifop pour Orange et l'Association des maires de France.

     

    La vie politique locale a encore du chemin à faire sur Internet. Tel est le principal enseignement que l'on peut tirer de l'étude AMF-Orange-Ifop sur les usages politiques du Web 2.0, qui compare les pratiques des élus et celles du grand public. Dans leur usage professionnel, les élus ne sont que 2 % à utiliser des blogs ou Twitter et 1 % à utiliser Facebook. Du côté du grand public, alors que les usages du Web 2.0 sont plus développés – puisque 45 % des internautes français disposent d'une page Facebook –, les usages politiques d'Internet (discussions politiques en ligne sur des blogs, des forums ou des réseaux sociaux, visites de blogs tenus par des personnalités politiques) sont très peu fréquents. Lire la suite

  • Des étudiants à votre service

    article_2402-PAR02-YOKORO.jpgD'un côté, des étudiants qui ont besoin d'un peu d'argent. De l'autre, des parents en galère pour trouver un baby-sitter. Le tout nouveau site Yokoro se propose de les mettre en relation et ce, gratuitement. Pour proposer ses services, rien de plus simple. Il suffit de se créer un profil en précisant les compétences offertes (garde d'enfants, soutien scolaire, aide à la personne, bricolage, ménage, informatique…) et le lieu de résidence. C'est là un des « plus » du site : sur la page d'accueil, une carte interactive permet de repérer les étudiants qui vivent dans votre quartier. Un petit clic et leurs références apparaissent : âge, expérience, disponibilités et tarifs. Pour un baby-sitter à Paris, comptez par exemple entre 7 € et 10 € de l'heure, intégralement versés à l'étudiant.
    Mais comment être sûr qu'on ne confie pas la chair de sa chair à un psychopathe ? « Les étudiants sont évalués par leurs employeurs, explique Edouard, 25 ans, cofondateur du site. Si les appréciations sont bonnes, cela fait monter leur indice. » Un peu comme sur un célèbre site d'enchères en ligne. Pour l'instant, environ 3 000 étudiants proposent leurs services sur Yokoro, principalement à Paris et en proche banlieue. L'équipe du site est par ailleurs en train de développer des partenariats avec des universités et de grandes écoles, qui pourront certifier que l'étudiant est bien inscrit chez eux et ainsi prouver sa compétence, notamment dans le domaine du soutien scolaire

  • Proposition 12 : faire du 12eme un arrondissement numérique

    numérique.jpgEn 1998, la mairie du 12eme fut la 1ere municipalité parisienne à lancer un site internet. Aujourd’hui, la population s'est approprié les outils du web 2.0. Il faut, plus que jamais imaginer les passerelles entre le monde cybernétique du web et le monde bien réel de la ville.

    Nous devons développer une stratégie de sensibilisation aux usages, de réduction de la fracture numérique et de développement de l’administration électronique.

    La municipalité doit se saisir plus encore des technologies comme outil de progrès et d’émancipation.

    Les enjeux sont à la fois sociaux, économiques et politiques.
    Plusieurs initiatives peuvent être prisent :

    - liaison de tous les établissements publics à internet

    - mise en place d’un site pour les malvoyants

    - création d’un week-end annuel consacré aux nouvelles technologies

    - création de points multimédia municipaux

    - mise en place d’un centre d’accueil pour les entreprises proposant des services de vidéo-conférence et la possibilité d’effectuer des travaux en réalité augmenté

    - création une fois par an, du salon des jeunes créateurs de site, de blog et de webzine.

     

    Toutes ces propositions ont pour but de réduire la fracture numérique bien sûr lié à la réduction de la fracture sociale, le développement de la démocratie locale, la modernisation du service public et des services à la population, la dynamisation économique du territoire tout cela dans l’affirmation des valeurs humaines et de la vision sociale.

  • Le 12e sur Facebook

    images.jpgDécouvrez, sur facebook, la page des habitants et des amoureux de notre arrondissement !

    Vivre dans le 12eme arrondissement de Paris

     

     

  • Tribune : La fermeture des voies sur berges condamne Paris à l'asphyxie

    A lire, la tribune des élus Nouveau Centre de Paris et d'Ile de France dans les Echos

    Le 14 avril 2010, Bertrand Delanoë a annoncé son projet de réhabilitation des berges de la Seine. Une catastrophe pour les transports de la capitale, qu'ils soient publics ou privés aux yeux d'une partie de l'opposition.

    Nous, élus Nouveau Centre de Paris et de la proche couronne, croyons à la nécessité d’une logique nouvelle, métropolitaine, des problématiques qui se posent à la région capitale. Les maires Nouveau Centre ont ainsi soutenu et rejoint Paris Métropole. C’est pourquoi nous sommes surpris du projet du maire de Paris de fermeture des voies sur berges.

     

    En supprimant ces axes de circulation stratégiques permettant de relier l’ouest et l’est de la capitale, Bertrand Delanoë prend le risque majeur d’altérer gravement la fluidité du trafic et de provoquer la congestion intra-muros. Mais il obture aussi des portes d’entrée indispensables dans Paris pour les habitants des communes limitrophes et l’ensemble des franciliens (40% des automobilistes viennent de la proche couronne). Comment les milliers d’habitants d’Ile-de-France qui n’ont d’autre choix que de prendre leur voiture pour aller travailler, faute de solution alternative, pourront ils se déplacer chaque jour ?

    Cette promesse de campagne au moment des élections municipales, le maire de Paris, l’avait expressément conditionnée à une augmentation suffisante et simultanée de l’offre de transport en commun. Lire la suite...