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12eme arrondissement - Page 44

  • La Foire du Trône doit quitter la Pelouse de Reuilly

    Foire.JPGCette année encore, la Foire du trône s’installe dans notre arrondissement, Pelouse de Reuilly. Et une nouvelle fois, nous réaffirmons que ce que nous écrivions le 8 avril dernier :

    « Depuis de nombreuses années, cet évènement n’est plus une fête.Dès son ouverture, ce ne sont que nuisances et insécurité. Malgré le déploiement d’un dispositif de sécurité important, nous retrouvons des situations d’insécurité fortes aux alentours et à l’intérieur de la Foire. Et sur le fond, aller dans une fête encadrée par des compagnies de CRS est déjà un problème. Cela prouve bien que, malheureusement, cet évènement n’est plus une fête familiale.

    Les riverains, mais aussi les commerçants, sont également pénalisés : stationnement anarchique, circulation impossible… Et en prime, cette année, les travaux pour la réalisation du tramway Bd Poniatowski et Porte Dorée… . La mairie du 12e se félicite de la tenue de cette fête et nous explique sur son site tous les moyens mis en œuvre pour renforcer la sécurité, organiser la circulation…. Nous pensons que la Foire du Trône ne doit plus se tenir sur la Pelouse de Reuilly. Nous sommes, de façon plus générale, favorable à une vraie politique novatrice pour le Bois de Vincennes dans lequel la Pelouse de Reuilly aurait toute sa place. Un projet également mis en place avec les communes de Saint Mandé, de Vincennes et de Charenton. Depuis plus de 40 ans, cette partie du 12e est, durant plusieurs semaines, complètement paralysée et devient un gigantesque parking. Nous souhaitons enfin mettre en place une vraie concertation, avec toutes les parties (Ville de Paris, Ville de Vincennes, de Saint Mandé, de Charenton, forains, riverains) pour travailler ensemble à son déménagement de la Pelouse de Reuilly et de notre arrondissement »

    Petite différence avec l’année dernière, les probables prises de positions de candidats venus d’ailleurs, et qui découvrent le problème ! Attendons de voir

  • Dans le 12eme, une concertation à deux vitesses

    croz.JPGA plusieurs reprises, je me suis étonné du double discours de la mairie du 12eme sur la concertation. D’un côté, un aspect « communication » très fort avec des opérations visibles dites de concertation (par exemple, les grandes réunions sur le projet Bercy-Charenton, les conseils de quartier très encadrés…) et de l’autre une absence totale d’information sur des projets locaux, touchant directement les riverains et l’attractivité d’un quartier. Dernier projet en date, l’installation d’une station d’autolib, rue Crozatier. Les riverains ont découvert un beau matin la mise en place d’un chantier visant à créer une station d’autolib. Aucune information, au préalable, envers les habitants et les commerçants, dans un quartier qui manque déjà cruellement de place de stationnement. Sachant qu’il existe déjà une station au 97 rue de Charenton et une autre au 24 boulevard Diderot, ce choix d’implantation est assez étonnant. Encore une fois, la question n’est pas d’être pour ou contre autolib, mais de constater la façon déplorable dont la concertation est menée dans le 12eme arrondissement. Le minimum aurait été d’informer directement les riverains impactés par ces travaux, puis de proposer une alternative. Mais pour cela, encore faut-il être réellement sur le terrain et ne pas se cacher derrière une concertation tellement bureaucratique et partisane qu’elle n’existe pas dans la réalité !

  • Toujours sur le terrain !

    Benoît PerninSamedi, une nouvelle journée riche en rencontres et échanges. Je me suis d’abord rendu le matin dans le quartier Bercy, aux journées portes ouvertes de l’école de boulangerie et de pâtisserie de Paris, installée depuis 1995 dans le 12eme. Là, j’ai échangé avec les responsables et les apprentis. L’Ecole transmet l’excellence de son enseignement, le savoir-faire de ses formateurs et la passion du métier à un public varié. La formation, l’une des clés pour les jeunes qui cherchent une filière d’avenir.

     

    J’ai ensuite rencontré quelques commerçants et riverains du quartier. Propreté, aménagement, stationnement….les sujets d’inquiétudes sont nombreux. Plus 

               combercy.JPG                    que jamais, proximité, écoute et propositions sont des doivent guider nos actions dans les prochains mois.

     

    Après un déjeuner rue de Charenton, je me suis rendu au marché des producteurs, organisé par les commerçants des rues du Rendez-vous et Marsoulan. Excellente initiative visant à promouvoir la qualité des producteurs de nos régions. Un vrai contact avec la population qui plébiscite ce genre d’initiative.

     

    Enfin, en fin d’après-midi, visite chez des responsables du TCXII, club de tennis de notre arrondissement. Bel échange et beaucoup de souvenir, car c’est dans ce club que j’ai commencé à jouer au tennis à l’âge de 6 ans, au stade Poniatowski !

     

    Benoît PerninUne belle journée de contacts et des messages encourageants. Plus que jamais, les habitants du 12eme apprécient cette démarche de proximité, d'écoute et de proposition. tennis.JPG

  • Demain jeudi, Forum de l’Emploi dans le 12eme

    Forum emploi.jpgDemain jeudi, se déroule le forum de l’emploi à l’Espace Reuilly de 10h à 17h. Les grands secteurs présents seront : les métiers du transport, de la sécurité, du commerce et de la distribution ou encore de l’hôtellerie et de la restauration. Le thème de cette année : Lutter contre les discriminations à l’embauche

    Au programme : Une sensibilisation des entreprises à ce problème récurrent à travers l’analyse de leurs méthodes de recrutement.Mais aussi des offres d’emploi à destination des personnes encore peu expérimentées seront proposées dans les domaines des transports et de la sécurité, de l’hôtellerie - restauration et du commerce - de la distribution, deux grands secteurs de recrutement à Paris. Une trentaine d’entreprises seront présentes et de nombreux ateliers, ont été mis en place tout au long de la journée ( durée des ateliers environ 45 min).

    Ce forum se déroule à l’Espace Reuilly, 21, rue Hénard

  • Toujours sur le terrain !

    Elisa Lemonnier, Benoît PerninSamedi fut une journée consacrée, une fois encore, à la rencontre et aux échanges, dans notre arrondissement. Un dialogue permanent, bien loin des agitations politiciennes et partisanes alimentées par le microcosme dont les habitants de notre arrondissement n’ont que faire !

     

    Le matin, me suis rendu aux journée portes ouvertes du lycée professionnel Elisa Lemonnier, avenue Armand Rousseau. J’ai échangé avec les enseignants mais aussi les parents et (futurs) élèves. Cet établissement forme, depuis 1972, aux métiers de la coiffure. La formation, l’apprentissage doit plus que jamais, être enfin considéré comme une filière d’excellence.

     

    J’ai ensuite rencontré les commerçants et les riverains du boulevard Soult pour des échanges sur lesBenoît Pernin; Saint Eloi futurs aménagements concernant l’arrivée du tramway. Après un déjeuner avec quelques amis du côté de la rue du rendez-vous, je suis allé à la rencontre des habitants et commerçants du quartier Saint Eloi (rue Erard, de Reuilly, place Maurice de Fontenay….).  Je connais très bien ces rues de notre arrondissement pour y avoir habité pendant plus de 15 ans. Là encore, écoute et dialogue sur les sujets du quartier : sécurité, stationnement, commerce de proximité. Des rencontres appréciées, bien loin des passages éclairs de candidats parachutés qui ne connaissent ni l’histoire de nos quartiers, ni les besoins et souhaits des habitants et, surtout, ne portent aucun projet d’avenir !

     

    Benoît PerninAprès plus de  2h de rencontre, je me suis rendu, comme depuis des années, à la braderie de la paroisse du Saint Esprit. Et comme à chaque fois, de nombreux échanges avec les bénévoles qui s’engagent pour les autres, pour offrir un peu d’espoir et un quotidien amélioré. Un grand merci !

     

    Une journée sur le terrain, une journée quotidienne de proximité pour préparer l’avenir !

  • La seconde vie de Bercy Village

    Ce matin, le journal Le Parisien consacre un bel article au quartier de Bercy et plus particulièrement à Bercy Village. Sous le titre "La seconde vie de Bercy Village", le papier explique comment après un passage difficile ces dernières années, ce quartier est aujourd’hui au niveau commercial, en pleine mutation avec l’arrivée de nouvelle enseigne. Ce projet, initié dés les années 90 fut novateur en terme d’animations et d’aménagement urbain. Reste maintenant à continuer à l’imaginer pour les prochaines années, réfléchir pour lui donner un vrai sens dans l’ensemble du quartier de Bercy. Attractivité et proximité sont les axes de réflexions pour créer, enfin, un quartier à part entière !

  • Le magasin Surcouf, avenue Daumesnil, va-t-il disparaître ?

    Surcouf, Benoît Pernin, 12eme arrondissementLa célèbre enseigne Surcouf vient d'être placée en redressement judiciaire. En 2010, Surcouf aurait affiché une perte nette de 20 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 160 millions d'euros. Le groupe refuse de confirmer ces chiffres ou de communiquer le montant du passif avec les fournisseurs. La société qui emploie actuellement 472 personnes, possède six magasins en  France, dont le plus emblématique et important (environ 40% du chiffre d'affaires) se situe dans notre arrondissement, avenue Daumesnil. Il s’agit du plus grand magasin d'informatique et de loisirs numériques d'Europe. Avec une superficie de 6 000m², 3 étages et plus de 20 000 références produits, le magasin Surcouf Daumesnil accueille entre 10 000 et 15 000 visiteurs par jour. Installé depuis 1995, il s’est, au fil des ans, largement transformé et donne à cette partie de notre arrondissement un attrait unique à Paris. Si jamais il venait à disparaître, nous devons veiller à rapidement agir pour « remplir » ces milliers de m². Il est hors de question de laisser vacant cette surface. Dores et déjà, les élus et acteurs économiques de notre arrondissement, de Paris et de la région doivent agir, par anticipation, afin de proposer une alternative crédible. Nous suivrons ce dossier avec intérêt, car après le départ éventuel du VIA, avenue Daumesnil, ce serait un mauvais coup porté à l’attractivité du 12eme arrondissement !

  • Reconstruction du lycée Paul Valéry, boulevard Soult

    L’ensemble scolaire Paul Valéry accueil plus de 1300 élèves (collège-lycée)
    Le collège et lycée, construits dans les années 1960 se composent d’une barre de 200
    mètres de long, d’une tour de logements, et d’un bâtiment abritant la cantine. Il possède également un vaste terrain de sport.
    L’opération consiste donc à reconstruire le lycée d’environ 10800 m² en portant les effectifs à 1420 élèves en enseignement général, technique tertiaire et industriel, et classes préparatoires aux grandes écoles. L’opération fera l'objet d'une démarche de qualité environnementale et d’un objectif "zéro énergie" visant un bilan neutre entre consommation et production d'énergie pour le lycée. Par ailleurs, pour élargir l’offre de places d’internat dans Paris, la construction d’un internat de 150 lits est envisagée sur le site. Les travaux s'achèveront à l'horizon 2018.
    Montant des études : 9,944 M€ pour un montant total d’opération estimé à 56,500 M€

  • Un lieu unique à Paris : le cimetière de Picpus

    picpus.jpgNotre arrondissement possède le seul cimetière privé de Paris, le cimetière de Picpus (35, rue de Picpus)

    A l’origine, le jardin de ce couvent est devenu un haut-lieu des évènements de la Terreur, dans les années qui suivirent la Révolution. Il est situé près de la place du Trône (aujourd’hui place de la Nation). La guillotine fut érigée place de la nation le 17 juin 1794, la municipalité ordonna d'établir un cimetière à proximité, un jardin fut réquisitionné. Entre le 17 juin et la chute de Robespierre le 27 juillet 1794, 1306 personnes furent exécutées place de la nation, âgées de 14 à 90 ans, de toutes conditions sociales, parisiens ou provinciaux ramenés vers la capitale. Si la majorité des victimes étaient des gens du peuple, on trouve aussi parmi elles ,le prince Frederic III de salm-Kyburg, la duchesse d'Ayen, la maréchale et la vicomtesse de Noailles, les poètes Antoine Roucher et André Chénier, Eugène de Beauharnais, premier mari de l'impératrice Joséphine et les carmélites de Compiègne.

     

    En 1802, La marquise de Montagu et Marie-Adrienne de Noailles, épouse du général de La Fayette lancèrent une souscription pour acquérir les terrains voisins des fosses communes. Un second cimetière fut ouvert, réservé aux descendants des guillotinés. Ainsi le général De la Fayette fut enterré dans ce cimetière. Chaque année, le 4 Juillet s'effectue la relève du drapeau américain qui flotte en permanence sur la tombe du Général. Le général Pershing en 1917 vint se recueillir sur la tombe du général et prononça les paroles célèbres applaudies par le Maréchal Joffre: " La Fayette nous voila".

    Un endroit unique à Paris !

    A noter, la page Facebook du cimetière de Picpus !

  • Dans le 12eme, 2 structures pour l’accueil des enfants en situation d’handicap : La Maison Dagobert – halte garderie Danièle Pernin

    Ouverte en 1991, la Maison Dagobert - halte garderie Danièle Pernin, rue Erard, est d’abord un projet, puis aujourd’hui une réalité en plein cœur de notre arrondissement.

    Cette structure développe des projets innovants concernant la petite enfance, la création et la gestion de structures favorisant l'intégration, parmi les autres, d'enfants porteurs de handicap, ou connaissant des difficultés diverses d'ordre social.

    Pour en arriver là, il a fallu montrer beaucoup de ténacité, d’esprit de persuasion... et de patience. Le projet a commencé à germer il y a une vingtaine d’années au sein de l’équipe du Centre d’assistance éducative du tout-petit (CAE), situé dans le 12eme, rue Colonel Rozanoff.

    L’idée est donc simple : créer un lieu d'accueil où un enfant sur trois est porteur d'un handicap.

    Vaincues certaines résistances institutionnelles, la Ville de Paris, l’Union nationale des associations de parents d’enfants inadaptés (UNAPEI) et l’Association des paralysés de France (APF), partantes pour apporter soutien logistique et financier, la halte-garderie
    Danièle Pernin ouvre enfin ses portes en février 1991. Sa charte: accueillir –à condition qu’ils soient suivis médicalement à l’extérieur– un tiers d’enfants porteurs de handicaps, quels qu’ils soient, parmi les enfants du quartier.

    Aujourd’hui notre arrondissement possède 2 structures de ce type.

    L’une, la halte-garderie Danièle-Pernin, la maison Dagobert, rue Erard et la seconde, Jardin d’enfant Danièle Pernin, à Bercy, au 59 rue des Pirogues de Bercy (ouverte en 1998).

    Ces haltes garderies sont une aubaine pour les parents à la recherche d’un mode de garde pour leurs enfants handicapés, et une réalisation intéressante pour les équipes spécialisées des Centres d’action médico-sociale précoce (CAMSP) qui se sont toujours efforcées de trouver crèches, haltes, écoles maternelles où une intégration de ces enfants soit possible.