Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Au cœur du quartier de Bercy, la cinémathèque doit un être un pôle d’attractivité pour notre arrondissement.

    cinematheque-francaise-paris-exterieur.jpgAssociation loi 1901, la Cinémathèque française a été créée en 1936 par Henri Langlois, Georges Franju, Jean Mitry et Paul Auguste Harlé. Elle est devenue au fil des ans l'une des archives les plus célèbres dans le monde grâce à la richesse de ses collections. Longtemps installée au palais de Chaillot, la Cinémathèque française occupe depuis septembre 2005 l'ancien bâtiment de l'« American Center » construit par l'architecte Frank Gehry, 51 rue de Bercy, en plein cœur du quartier de Bercy.  Lors de l'inauguration de la nouvelle Cinémathèque, Martin Scorsese a déclaré :« Les réalisateurs du monde entier connaissent la Cinémathèque française, même s'ils n'y sont jamais venus. C'est notre demeure spirituelle.

    En 2011, la Cinémathèque française a accueilli 518 000 visiteurs, ce qui constitue une hausse de 35 % par rapport à l'année 2010. L'exposition consacrée au cinéaste Tim Burton organisée du 7 mars au 5 août 2012 a accueilli 350 000 visiteurs. C'est une fréquentation record pour une exposition organisée à la Cinémathèque.

    La cinémathèque est un pôle d’attractivité unique pour notre arrondissement. Nous devons bien évidemment développer les partenariat entre le Ville et cette institution. Niché dans le superbe parc de Bercy qui est l’une des plus belles réalisations de Ville dans ce domaine (1993 – 1997), cet ensemble doit être capable d’attirer de nombreux parisiens, tout en conservant pour les riverains un quartier agréable à vivre.  Nous devons aussi promouvoir l’ensemble des activités (expositions, séances, découverte du lieu…) auprès des habitants du 12eme. En effet, un grand nombre d’entre eux ne sont jamais entrés dans la cinémathèque…

    Partez à la découverte de la Cinémathèque !

  • Sur le terrain, dans le quartier de la Nation, à la rencontre des habitants

    IMG_1069.jpgSamedi, j’ai passé une grande partie de la journée sur le terrain, dans notre 12eme arrondissement. Je me suis tout d’abord rendu avec une partie de mon équipe, dans le quartier de la place de la Nation (rue du faubourg Saint Antoine, rue Fabre d’Églantine, avenue du Bel Air, rue des Colonnes du trône, cours de Vincennes…). J’ai, à cette occasion, rencontré des commerçants mais aussi des riverains. Dans ce quartier que je connais bien depuis de très nombreuses années, la principale question est le futur réaménagement de la place de la Nation. En effet, cet axe important de l’est Parisien doit à mon sens, évoluer. Avec la rénovation des boulevards extérieurs et l’arrivée du tramway, il est logique de donner un nouveau souffle à cette place. S’il est aussi logique de penser son réaménagement en lien direct avec celui de la place de la Bastille, il est incompréhensible de ne pas d’occuper également du faubourg Saint Antoine.  Pour être parfaitement clair, je pense que nous devons aussi mettre en place une véritable réflexion sur l’avenir du Faubourg Saint Antoine, axe majeur qui rejoint ces 2 places. En effet, cette artère n’est plus que l’ombre d’elle-même (fermeture de boutiques, déménagement des sites attractifs comme "Le lieu du design"…).  Ces améliorations seront aussi l’occasion de donner à l’ensemble du quartier une nouvelle attractivité. De nombreux commerçants, mais aussi riverains, se sont aussi plaint du nombre important de manifestations place de la Nation. Je me suis effectivement interrogé à plusieurs reprises sur ces manifestations bloquant ainsi tout le quartier. Pour preuve, à l’occasion de ces rassemblements, la préfecture ferme les rues jusqu’à l’avenue Arnold Netter, cassant, par exemple, toute activité commerciale rue du rendez-vous…

    IMG_1030.jpgJe me suis ensuite rendu sur le marché cours de Vincennes pour échanger avec les habitants. Un excellent accueil et des rencontres très intéressantes…. Enfin, j’ai terminé par la rue du rendez-vous dans laquelle j’ai rencontré des responsables associatifs. Nous avons notamment parlé du problème de l’attractivité du quartier. En effet, si durant des décennies la rue du rendez-vous (mais aussi Marsoulan) fut LA rue commerçante par excellence elle est aujourd’hui en manque de repère et aucune vision n’est proposée par l’actuelle majorité. Plusieurs sujets sont en questions : piétonisation, éclairage, stationnement… Les commerçants mais aussi les riverains, sont en attentes de nombreuses réponses. Ouverts au dialogue et aux propositions, ils souhaitent une concertation globale sur l’ensemble du quartier.

    Plus que jamais, c’est sur le terrain, en étant présent et avançant des idées innovantes que nous pourrons, demain, proposer une véritable alternative. Face à la crise actuelle, il est donc important de créer, dès à présent, dans nos arrondissements, une dynamique commune. Enfin, c’est en s’ouvrant sur la société civile, représentative de nos quartiers, travaillant depuis longtemps aux côtés des habitants, des associations et éloignée de tous calculs politiciens, que nous pourrons proposer un nouveau choix pour le 12eme et Paris avec des hommes et des femmes ancrés dans l’arrondissement.

  • Paris et la région Ile de France ne font plus rêver les trentenaires

    untitled.jpgUne étude publiée par le magazine Challenge évoque la perte de vitesse de la ville de Paris mais aussi de la région Ile de France.

    En effet, d’après une étude de l’Insee et de l’Institut d’urbanisme d’Ile-de-France publiée en janvier, l’emploi y progresse moins vite depuis plusieurs années que dans les sept autres régions françaises qui comprennent plus d’un million d’actifs (Rhône-Alpes, mais aussi Paca, Nord-Pas-de-Calais, Pays de la Loire, Aquitaine, Bretagne et Midi-Pyrénées). “Le nombre de départs de l’Ile-de-France vers la province est très nettement supérieur à celui des arrivées de la province”, note ainsi les auteurs de l’étude “Ile-de-France à la page” .  L’écart se resserre, donc, entre Paris et la province. On estime à 200.000 le nombre de franciliens qui déménagent en régions chaque année. Car le problème numéro un, est bien celui du logement.  Le pouvoir d'achat immobilier des ménages franciliens a fortement baissé entre 1998 et 2010. En douze ans, la baisse atteint 39 % à Paris. En 2010, seulement 27 % des ménages parisiens étaient en capacité d'acheter un bien immobilier correspondant à leurs besoins à Paris, contre 44 % en 1998. Un taux de 44 % à Paris en 1998 signifie qu'à cette date 44 % de l'ensemble des ménages étaient en capacité d'acheter un bien immobilier adapté : un studio, T1 ou T2 pour un célibataire ou un T4 ou T5 pour une famille avec trois enfants, par exemple.

    Une région en perte de vitesse

     

    La région Ile-de-France fait aussi fuir beaucoup de trentenaires qui ont ou vont fonder une famille. En cause d’abord, le prix de l’immobilier, déjà beaucoup plus élevé qu’en province, qui a flambé de près de 20% depuis 2010 quand les salaires ont progressé nettement moins vite. “Un grand nombre de Parisiens n’en peuvent plus d’être pressés comme des citrons dans les transports, de vivre à un rythme effréné au travail ou encore d’habiter dans de petites surfaces avec des enfants”, observe Karl Rigal. En province, la qualité de vie est meilleure (…) »

    Derrière ces chiffres et ces tendances, c’est en fait du Grand Paris dont il est question. Il faut donner , maintenant, un sens au Grand Paris, sensibiliser d’abord les franciliens et faire en sorte que les politiques soient enfin les moteurs du Grand Paris. Ils doivent sortir de ces luttes d’influences et administratives….. Logement, infrastructures routières et ferroviaire, aménagement du territoire, dynamisme, création d’emplois… les sujets sont nombreux et globaux. C’est maintenant une question de volonté ! Ce sera, nous en sommes persuadé, la seule façon de faire de Paris et de l’ile de France, une région attractive dans laquelle il fera bon vivre !

  • Samedi, sur le terrain, dans le quartier d’Aligre et rencontres avec les artisans du Viaduc des Arts

    IMG_1007.jpgSamedi, je me suis rendu sur le terrain, dans le quartier d’Aligre mais aussi avenue Daumesnil, rencontrer les artisans du Viaduc des Arts. Lors de ces échanges, nous avons évoqué la suppression envisagée par la Mairie de Paris de la zone touristique du Viaduc des Arts. En effet, pour mémoire, un article publié dès le 30 novembre dans Métro et confirmé par le journal le Parisien en date du 2 décembre intitulé « Ouverture le dimanche : la gauche mise à l’épreuve » évoque globalement le problème de l’ouverture des magasins le dimanche mais aussi l’avenir de ces zones touriquues. Nous découvrons ainsi au détour d’un paragraphe qu’ « on s’orienterait même vers la suppression de la zone touristique du Viaduc des Arts »

    A Paris, des dérogations de droit concernent les établissements implantés dans 7 zones touristiques d’affluence exceptionnelle déterminées par arrêté préfectoral sur proposition du Maire. Dans ces zones, les commerces ont autorisation à ouvrir le dimanche. Parmi ces 7 zones  (rue de Rivoli, place des Vosges, les Champs Elysées…) il y a Le viaduc des arts, avenue Daumesnil entre le passage des Quinze Vingt et la rue de Rambouillet à Paris 12ème. Ainsi, à Paris, si on met de côté les commerces qui ont le droit, du fait de leur activité, d’être ouverts le dimanche sans demande d’autorisation (bar, restaurant, musées, hôtels etc…) les autres doivent être situés dans l’une des 7 zones touristiques dont les limites sont définies avec précision par les autorités.

    Cette zone touristique est donc un atout exceptionnel pour notre arrondissement. Pour mémoire, elle avait été attribuée il y a des années, par l’ancienne mandature. Le Viaduc des Arts, créé dans les années 90 est un fleuron pour le 12eme. Véritable centre d’attraction il doit, plus que jamais, symboliser le cœur du 12eme notamment en ce qui concerne le monde de la création et de l’innovation. Supprimer cette zone est une grave erreur fondamentale. Je souhaite que les élus municipaux de notre arrondissement se prononce sur cette question. A ce rythme, le 12eme, qui fut durant des années le pôle de la réhabilitation de l’Est Parisien, l’arrondissement modèle en terme de transformation, va vite se transformer en un arrondissement dortoir…. Chaque voûte est le lieu d’expression d’un talent et d’un savoir-faire, qui, révèle une infinité de gestes fascinants avec leur part de tradition, d’héritage et d’invention. L’ouvrage, au rythme de la succession des voûtes, propose aux visiteurs et aux touristes de découvrir plus de 50 artisans d’art et des créateurs originaux. Adopté par les parisiens cette ancienne friche ferroviaire est lieu privilégié des flâneries de fin de semaine. Nous devons donc rapidement connaître les intentions réelles de la Mairie de Paris…

    IMG_1008.jpgJe me suis ensuite rendu sur le marché Ledru-Rollin sur lequel j’ai rencontré des habitants. Beaucoup sont exaspérés par l’insécurité et la propreté. Rien n’a changé… Rue de Lyon par exemple, nous avons longuement parlé avec des riverains excédés par l’insécurité et la salubrité. J’avais déjà alerté il y a plusieurs mois les autorités compétentes, sans actions particulières de leur part ! Plus que jamais nous devons rester vigilant sur la sécurité des commerçants et des habitants, maintenir un environnement agréable à vivre pour tous, dans le respect, le calme et la sérénité. De plus, il est très important de maintenir une veille, aujourd’hui inexistante, afin de relayer auprès des instances concernées (Mairie, commissariat…) les problèmes existants. Je suis bien évidemment conscient que les quartiers proches des gares, sont davantage touchés par les problèmes d’incivilités. Mais depuis quelque temps, ces derniers sont particulièrement importants et en augmentations.

    J’ai enfin terminé en me rendant sur le marché d’Aligre. Là encore, de nombreuses rencontres et échanges !

     

  • Création d’espaces de travail « coworking » : encourager l’échange et la créativité.

    coworking.jpgA l’automne 2014, dans le cadre de la consultation sur le budget participatif, les Parisiennes et Parisiens ont voté pour le projet de création d’espaces de coworking étudiants – entrepreneurs. Le coworking est un type d'organisation du travail qui regroupe deux notions : un espace de travail partagé, mais aussi un réseau de travailleurs encourageant l'échange et l'ouverture.Le coworking est aussi né du besoin d’échange de la communauté grandissante des indépendants. Ils se retrouvent dans un espace où ils travaillent ensemble mais pour des clients distincts, dans un environnement stimulant, sans hiérarchie, sans compétition, sans politique et un cadre convivial. En 2008, il n’y en avait encore qu’un seul: La Cantine devenue en octobre dernier le Numa lors de son déménagement au 39 rue du Caire (2e). Il en existe aujourd’hui 66.

    Sans attendre ce vote sur le budget participatif, nous avions porté cette idée durant la campagne des élections municipales. Nous souhaitions, notamment, réutiliser une partie de l’ancien magasin Surcourf, avenue Daumesnil, pour créer ce genre de locaux.

    Ainsi, pour réaliser ces lieux de travail collaboratif (un budget de 2 millions d’euros est prévu), la Ville de Paris lance un appel à manifestation d’intérêt.
    Universités, écoles, associations, entreprises, incubateurs..., sont invités à présenter leurs projets d’ici le 27 février 2015 !

    Cet appel à manifestation d'intérêt s’adresse à des porteurs de projets finalisés ou à des structures ne disposant pas d’un projet abouti mais qui souhaitent valoriser un lieu en créant un coworking étudiants – entrepreneurs.

    Les porteurs de projets intéressés doivent envoyer leur dossier, par voie électronique (maud.berthier@paris.fr).

  • Samedi….Porte de Vincennes

    matin10.jpgNotre arrondissement a été directement touché par les événements dramatiques qui se sont déroulés vendredi, Porte de Vincennes. C’est tout un quartier qui durant de longues heures a vécu dans l’angoisse et la peur. Habitants, commerçants mais aussi écoliers ont été les témoins de ce drame. Dans une note en date du 8 janvier, j’ai exprimé mon sentiment concernant cette attaque qui à touché notre pays.

    C’est pour raison pour laquelle dès vendredi, en début de soirée, je me suis rendu boulevard Soult et cours de Vincennes afin de rencontrer et soutenir les riverains qui ne pouvaient pas rentrer chez eux en raison du périmètre de sécurité dû aux événements de la Porte de Vincennes. Je tiens à souligner le rôle important joué par tout le personnel des écoles de la Ville de Paris qui durant de longues heures ont géré les enfants coincés dans les établissements scolaires.

    Le samedi matin, je me suis rendu sur le marché cours de Vincennes mais aussi directement Porte de Vincennes, dans la rue Élie Faure, afin d’échanger avec les riverains et les commerçants. Une très grande émotion était palpable sur le marché mais aussi dans les rues, toutes proches du drame. Rue Élie Faure, l’immeuble en face de l’hyper cacher, j’ai longuement parlé avec de nombreux habitants. À tous, mon message fut le suivant : le 7 janvier 2015, c’est notre pays, ses fondements, ses valeurs qui ont été attaqués. Face à la barbarie, il n’y a pas de meilleure réponse que le rassemblement des hommes et des femmes qui partagent la même émotion et aspirent à la tolérance et au respect. Ces terroristes ne pourront jamais, jamais, nous ôter ces valeurs. De nombreux riverains souhaitaient se mobiliser pour défendre ces valeurs, dimanche, mais aussi demain.

    am10.jpgEt parce que la vie continue, je me suis rendu dans le quartier de Bercy. J’avais rendez-vous avec les responsables du tunnel des artisans, situé au bout de la rue Baron Le Roy. Le tunnel fait partie intégrante du fortin à l'angle de Bercy, du musée d'arts forains et de la rue piétonne du quartier Saint-Émilion. Depuis plus de 200 ans le tunnel est utilisé par des producteurs, artisans et habitants de Paris. Le collectif Baron Le Roy, l'association du tunnel des artisans et les habitants du quartier se mobilisent pour la rénovation du tunnel du 86 rue Baron Le Roy dans le XIIe arrondissement, symbole du projet Bercy-Charenton. Pendant plus d’une heure, nous avons fait le tour de cet ensemble et réfléchi aux projets qui devront, demain, faire de ce tunnel, l’axe central du futur aménagement de ce quartier. C’est un patrimoine extraordinaire qui doit être au cœur de cette réhabilitation ! Nous ferons prochainement des propositions.

    2015-01-11T151037Z_363055759_LR2EB1B165E61_RTRMADP_3_FRANCE-SHOOTING_0.jpgIMG_0952.jpgEnfin, dimanche, j’étais, comme des milliers de parisiens à la marche Républicaine avec des habitants de notre arrondissement. Une marée humaine de 1,6 million de manifestants qui a battu le pavé parisien Un moment exceptionnel de mobilisation. Cette marche est aussi à mes yeux, le premier acte fort de l’Europe politique. Jamais depuis 1945 (à l’exception de la chute du mur de Berlin en 1989) les Européens ne s’étaient autant mobilisés pour porter et défendre nos valeurs communes : la liberté et la démocratie.

     

     

     

  • #jesuischarlie : ils ont voulu assassiner la République, la démocratie et la liberté

    IMG_0815.jpgRarement, la République, les fondements de notre démocratie, de notre idéal auront été attaqués de la sorte, avec une telle violence. Un groupe de barbares agissant au nom d’une religion ont imaginé, dans leur coin, pouvoir éteindre à tout jamais ce que nous avons de plus cher au fond de nous : la liberté. L’émotion qui submerge notre pays tout entier depuis hier est la preuve de notre indéfectible volonté de continuer à avancer, ensemble. « 12 morts, 66 millions de blessés» pouvait- on lire sur de nombreuses pancartes ou sur les réseaux sociaux. C’est exactement l’impression qui domine. Ces assassins ont tenté de tuer chacun d’entre nous. C’est tout un peuple et au-delà, l’esprit de 1789, une civilisation porteuse des valeurs universelles qu’ils ont voulu abattre. Ils se sont trompés. Ils ont déjà perdu. Tuer des journalistes montre à quel point ces terroristes ont peur de la liberté d’expression, de la liberté de la presse, de la liberté tout simplement ! Finalement, ils ne connaissent pas la France, l’Europe démocratique, l’envie des peuples de vivre ensemble, avec nos spécificités pour construire, demain, un monde libre dans lequel chacun pourra s’exprimer !

     

    Des journalistes, des policiers sont morts. Notre devoir est aujourd’hui de ne pas tomber dans l’amalgame, dans les conclusions faciles. Cette attaque vise à diviser, nous ne devons pas tomber dans ce piège.  Il faut traduire en justice les auteurs de ces actes de terrorisme. Il est impératif de combattre par tous les moyens, les menaces que les actes de terrorisme font peser sur la paix et la sécurité nationale et internationale. Ces actes de terrorisme sont des crimes injustifiables, quels qu’en soient les motivations et les auteurs et indépendamment de l’endroit et du moment où ils sont commis.

     

    IMG_0812.jpg"L'union nationale doit se faire autour de la mémoire des personnes lâchement assassinées, journalistes et policiers, de la solidarité envers les personnes blessées et envers toutes les familles des victimes. L'union nationale doit se faire autour de l'affirmation de valeurs et principes au fondement de notre République : la liberté sous toutes ses formes, et notamment la liberté d'expression, la liberté d'information, la liberté de comprendre, la laïcité"

    Fort de cette union nationale et du soutien international, nous devons combattre le terrorisme et défendre toutes les libertés. Le 7 janvier 2015, c’est notre pays, ses fondements, ses valeurs qui ont été attaqués. Face à la barbarie, il n’y a pas de meilleure réponse que le rassemblement des hommes et des femmes qui partagent la même émotion et aspirent à la tolérance et au respect. Ces terroristes ne pourront jamais, jamais, nous ôter ces valeurs.

  • Stationnement à Paris et dans le 12eme: explosion des tarifs depuis le 1er janvier

    1380054581.jpgDepuis le 1er janvier, se garer dans Paris coutera désormais plus cher. Lors du Conseil de Paris du mois de décembre, la Mairie de Paris a en effet redécoupé les zones tarifaires régissant le stationnement, pour "une meilleure cohérence tarifaire entre les stationnements de surface et dans les parkings souterrains". Résultat: dans plusieurs arrondissements, dont une partie du 12eme, il faut débourser 2,40€  l'heure pour stationner, contre 1,20 euros actuellement.

    Car au final, seuls deux arrondissements de Paris (XIXe et XX) seulement, demeurent dans leur totalité au tarif horaire le moins élevé (1,20€). Reste que la mairie de Paris, qui a voulu cette augmentation et ce quadrillage, dit vouloir chercher par ce biais, à "diminuer l’écart qui existe dans certaines zones très touristiques, entre la fréquentation du stationnement en surface et celle des parkings souterrains" (140 dans la capitale), souvent sous-occupés par "la faute’ d’une tarification bien supérieure, entre 3 et 3,50€ l’heure.

    De plus, pour la carte de résident, il faudra débourser 45 euros pour en disposer d’une valable 1 an, ou 90 euros pour une valable 3 ans. Les Parisiens non soumis à l’impôt sur le revenu et les propriétaires d’un véhicule électrique ou roulant au gaz naturel seront exemptés du paiement de la carte de résident. La mairie de Paris indique que les cartes gratuites arrivant à échéance après le 1er février 2015 seront obligatoirement remplacées par des cartes payantes. Cette mesure s’accompagne également d’une hausse des tarifs résidentiels, la journée passant de 0,65 euro à 1,50 euros, et la semaine de 3,25 euros à 9 euros

     

    Quoi qu’il en soit, après la hausse du prix des PV de stationnement et maintenant celle du stationnement non résidentiel, le message donné par la mairie est, pour ceux qui en doutaient encore, on ne peut plus clair : la voiture n’est plus du tout la bienvenue dans Paris.

  • Belle et heureuse année 2015 !

    images.pngJe vous souhaite une belle et heureuse année 2015. Que celle-ci vous apporte le bonheur, ainsi qu’à vos proches, la réussite et le succès dans vos projets.

    La passion de notre arrondissement et l'envie d'aller de l'avant sont les moteurs de notre détermination. Plus que jamais, c’est ensemble, sur le terrain, dans nos quartiers et dans le plus large rassemblement que nous pourrons préparer l’avenir de notre arrondissement et de notre capitale.

    Cette année, comme les précédentes, nous vous proposerons des moments d’échanges et de débats. Nous organiserons, toutes les semaines, des rencontres dans les rues de notre arrondissement et élaborerons, avec chacun, un projet ambitieux pour notre XIIe arrondissement dans lequel nous vivons.

    Très belle année !