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Benoît PERNIN - Page 67

  • La médiathèque Picpus obtient la seconde place en terme de fréquentation.

    2010, une année record pour les bibliothèques et médiathèques parisiennes. 12,9 millions de documents ont été empruntés dans les 57 établissements municipaux. Le plus fréquenté est la médiathèque Marguerite-Yourcenar (15e), suivie de celle de Picpus (12e).

    Sur quels ouvrages s'est porté le choix des Parisiens ? En première place des livres vient La Reine dans le palais des courants d'air (Millénium), de Stieg Larsson. A la deuxième, on trouve Trois femmes puissantes, de Marie NDiaye. Le CD le plus populaire en 2010 a été Bleu pétrole, d'Alain Bashung, puis Abbey Road, des Beatles. Côté DVD, Gran Torino de Clint Eastwood arrive en tête, suivi de Scoop, de Woody Allen. 

    Pour mémoire, la médiathèque Picpus est ouverte les
    Mardi, jeudi et vendredi de 13h à 19h
    Mercredi de 10h à 19h
    Samedi de 10h à 18h

    Vous y trouverez :
     22 postes multimédia (internet et ressources numériques en accès gratuit)
     58 000 livres,
     24 000 CD,
     6 500 DVD,
     9 000 BD,
     7 500 partitions,
     1 200 livres sonores

     

  • Rassembler le Centre

    La France a besoin d'une force politique consensuelle et responsable. Seul un Centre uni et rassemblé pourra élaborer un véritable projet de société capable d'affronter les défis que sont la sortie de crise, la gouvernance européenne, la compétitivité, l'emploi, le pouvoir d'achat. Cette union des centristes va redonner un espoir à ces millions de Français qui sont aujourd’hui orphelins. Le centre en France est une réalité. A nous de lui donner les moyens d’exister en affirmant nos convictions. 

    Cette démarche n’exclut pas de nouer, dans la clarté, des alliances autour d’un projet de société et d’une vision partagée. C’est même la logique de la Ve République. S’isoler n’aurait aucun sens. Affirmer notre penser, convaincre nos concitoyens et porter des idées neuves sont des démarches qui peuvent demain, faire gagner notre pays. C’est surtout une possibilité de faire vivre le débat, de confronter notre vision et de proposer un nouveau chemin pour notre pays mais aussi pour l’Europe. 

    Mais avant tout, nous devons travailler sur le projet. Notre objectif est aussi (et surtout) de refaire vivre le débat, d’aller à la rencontre des Français et promouvoir nos valeurs humanistes, sociales et européennes. Enfin, nous devons offrir à chacun un mouvement politique ouvert, résolument tourné vers l’avenir. L’objectif n’est pas de faire revivre une famille politique car celle-ci, au niveau des idées et des Hommes, existe toujours. L’objectif est plutôt de lui donner, en ce début de XXIe siècle, un nouvel horizon, un cadre et de faire de la politique autrement.

     

    A Paris, comme ailleurs, le centre à toute légitimité à exister. Dans la capitale, il fut un acteur majeur de la vie politique. Plus que jamais, et au vu des dernières consultations, le centre à toute sa place dans nos quartiers. Il peut même être une alternative dans de nombreux arrondissements. Nous devons dés à présent nous organiser, reprendre notre place qui était la notre, fédérer les énergies, promouvoir nos convictions et démontrer, ensemble, que la ville de Paris n’est pas une forteresse imprenable. C’est, maintenant, une question de volonté.

     

     

  • Proposition 10 : Pour la construction d’Ecoquartiers

    eco.jpgMalgré toutes les grandes réalisations (Quartier de Bercy quartier de Reuilly, l’Ilot Chalons…), notre arrondissement tout comme le reste de la capitale ne peut offrir suffisamment de logements. C’est une responsabilité commune mais nous devons nous mobiliser pour travailler ensemble sur ce dossier. A cela, nous souhaitons que tous les nouveaux bâtiments construits incluent,  dès la conception des performances énergétiques et environnementales liées aux bâtiments, à l'eau, aux déchets ou à la biodiversité. L’Etat vient donc de lancer les appels d’offres d’Ecoquartiers. Les projets sont aussi examinés sous l'angle des transports et de la mixité sociale. Après l'adoption au niveau de l'UE d'un "cadre de référence ville durable européenne" en juin dernier, les nouveaux projets devront aussi respecter quatre dimensions: la qualité de la conduite du projet, les objectifs en matière de cadre de vie, de développement territorial économique et les performances écologiques.

  • Les grandes réalisations du 12eme

    es.jpg1992 – 1998 : la renaissance du quartier de Reuilly

    Au début des années 90, la Ville de Paris lance, dans le cadre du développement de l’Est de la capitale, une concertation très large pour la rénovation du quartier de Reuilly. Occupé par une friche ferroviaire (les anciens espaces de la gare de Reuilly), ce sont près de 3 hectares qui en moins de quelques années vont accueillir un nouveau quartier : logements, piscine (puis gymnase), commerces… Ce quartier allant de la Mairie du 12eme jusqu’à la rue de Reuilly est l’une des plus belles réalisations en terme d’aménagement urbain. Son attrait est aussi la coulée verte qui traverse complètement ce quartier, mais aussi ce formidable jardin et sa passerelle. Le jardin de Reuilly est l'un des quatre espaces verts qui sont reliés par la promenade plantée (avec le square Hector-Malot, le jardin de la gare de Reuilly et le square Charles-Péguy). Il se situe à peu près au milieu de la promenade, entre la partie aérienne conçue au-dessus du viaduc des Arts, à l'ouest, et la partie en tranchée, à l'est. Avec 15 200 m², le jardin de Reuilly est le plus grand espace vert du 12e arrondissement de Paris, après le bois de Vincennes et le parc de Bercy. La majeure partie du jardin est constituée d'une large pelouse semi-circulaire en pente douce de 4 200 m², autour de laquelle sont disposés de petits jardins à thème. La pelouse est surplombée par la passerelle de Reuilly, qui permet à la promenade plantée de la franchir.

  • Rapport sur les travaux du Tramway : les commerces souffrent

    marechaux.jpgC’est aussi une réalité :  les 530 commerçants parisiens situés autour du tracé du prolongement du T3 ne sont pas au bout de leur peine. D'après la chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP), qui vient de publier un rapport sur les effets économiques des travaux du tramway dans l'est de Paris, le plus dur reste à venir. « La situation économique des commerces et services enquêtés continue à se détériorer », écrit Christelle Sauvage, chargée d'étude urbanisme et transport à la CCIP. « Pendant les travaux, les commerces sont moins visibles. Et donc, fragilisés », précise-t-elle. Près d'un tiers des commerçants a vu son chiffre d'affaires baisser significativement, de plus de 10 % au premier semestre 2010 par rapport à l'année 2008. Le secteur des services aux particuliers s'est écroulé, tout comme l'automobile. Seuls les restaurants et les cafés se sont maintenus, « en profitant de la présence des ouvriers du T3 ». Les travaux devraient s'achever mi-2012 pour une mise en service à la fin de l'année prochaine. Nous avons toujours affirmé que le travaux du tramways devaient s’accompagner d’une aide auprès de ces commerçants, véritables acteurs locaux de nos quartiers. Visiblement, la ville et les mairies d’arrondissement n’ont pas pris en compte cette réalité.

  • Décès de Vincent Casa

    CAsa.jpgJe viens d’apprendre la disparition de notre ami Vincent Casa. Depuis 1995, Vincent oeuvrait pour notre arrondissement avec convictions, efficacité et gentillesse. Nous n’aurons plus, hélas, l’occasion de le rencontrer dans les rues du 12e, où il était si présent.

    A Dieu Vincent !

     

  • Recyclage des sapins : un geste éco-citoyen

    Sapin.jpgChaque année, les nombreux sapins jetés sur la voie publique doivent être incinérés au même titre que les ordures ménagères, ce qui est coûteux pour la collectivité et contraire au développement durable. Pour inciter les Parisiens à faire un geste à la fois écologique et économique, la Ville de Paris met en place une opération de recyclage et propose à chacun de déposer son sapin naturel dans des espaces spécialement aménagés dans les jardins parisiens. Au lieu d'être abandonnés dans la rue, ils seront transformés en broyat et utilisés comme paillage directement répandu sur les massifs des jardins parisiens, ou comme élément pour la fabrication de compost. Voici les points de dépose, jusqu’au 23 janvier, dans notre arrondissement :

    Square Charles Peguy, 21, rue Rottembourg

    Saint Eloi, 11, rue du Colonel Rozanoff

    Bercy, 1, rue Joseph Kessel

    Fécamp, 54, rue de Fécamp

    Reuilly, 1, rue Albinoni

    Soult, 60, boulevard Soult

    Arsenal, 13, boulevard de l’arsenal.

     

  • Culture : le statut juridique des musées de la Ville de Paris doit évoluer

    Carnavalet.jpgLa Mairie de Paris gère 14 musée, dont le Petit Palais, le Musée d'art moderne, la Maison de ­Victor Hugo, Carnavalet ou le Musée ­Zadkine…. A 17h15, les visiteurs trouvent portes closes, exposition exceptionnel ou pas. A plusieurs reprises, certains musées ont voulu étendre les horaires. Mais c’est visiblement très difficile à mettre en place car cette mesure repose sur le volontariat et les négociations avec les organisations syndicales sont longues et périlleuses. A titre d’exemple, le Grand Palais qui accueil l’exposition Claude Monnet, vient de décider d’ouvrir jour…et nuit.

    Le manque de souplesse des musées de la Ville de Paris s'était déjà posé au printemps 2010 pour l'exposition Yves Saint Laurent au Petit Palais. Malgré un beau succès, les caisses fermaient à 17h15, et il n'y a eu qu'une nocturne exceptionnelle, le 28 août.

    Gérés par un système centralisé à la Direction des affaires culturelles, ils n'ont aucune autonomie. Dans un contexte où les Parisiens courent les expositions et réclament des heures d'ouverture adaptées à leurs horaires de travail, l'organisation est en porte-à-faux. Une enquête démontre ce que tout le monde sait: la lourdeur administrative des musées est telle qu'elle étouffe les opérations de communication autour des expositions, empêche toute flexibilité, génère du manque à gagner aussi bien en billetterie qu'en catalogues et rebute les mécènes.

    Il faudra bien que la Ville de Paris réforme ce système archaïque et offre à TOUS les parisiens, mêmes à ceux qui ne sont pas avant 20h00 chez eux, le choix d’aller visiter une expositions

  • Internet : la Ville de Paris met enfin ses infos à disposition de tous les citoyens

    CA5BZBQNCAGQ6P0YCAP3Y8WRCAGK8ZXFCA1QLNN0CAWIV9VVCAAHYUDACASU00W1CA9QS8HECADU0441CAX35LIMCADG6ADACAPECAN1CA423MYNCA7542EPCARA2B2TCAL6KCT6CACOGRM5CAMSLYDK.jpgD'ici fin janvier, un nouveau service verra le jour avec la naissance d'un site web dédié à l'ensemble des bases de données publiques. Ces documents resté jusque-là largement inexploité représentent une grande richesse. Il s'agit donc, grâce aux nouveaux moyens de communication, de le mettre à disposition du grand public. Les internautes pourront utiliser sans aucune limite le contenu de ces bases de données, les enrichir ou encore les exploiter. L’idée n’est pas nouvelle et s’inspire d’une démarche déjà existante dans certaines grandes métropoles comme San Francisco, Londres ou New-York : la mise à disposition gratuite de ces informations détenues par la Ville. Cette initiative devrait ainsi contribuer à booster l'économie numérique. Elle permettra notamment le développement de nombreuses applications pour smartphones et iPhones. On peut, par la suite, imaginer toutes sortes de choses. En donnant accès aux données officielles, une start-up pourra par exemple proposer un outil recensant l'ensemble des parkings deux-roues de Paris, les boulangeries, les parcs et jardins. Grâce aux archives cinéma, une autre pourra créer un service de visite virtuelle des lieux de tournage de la capitale. » Des bases concernant les parcs et jardins, les résultats des élections, la collecte de déchets ou la voirie sont déjà prêtes à être mises en ligne.

  • Personnes handicapées : une nouvelle carte pour stationner

    handi.jpgDepuis le 1er janvier, macaron GIC ou plaque GIG délivrés à titre permanent ont disparu. Dorénavant, c'est la "carte européenne de stationnement" qui les remplace et doit être apposée pour tout stationnement sur les emplacements réservés.
    La carte européenne de stationnement, ou "carte de stationnement pour personnes handicapées", permet à son titulaire ou à la personne qui l’accompagne de stationner sur les places réservées aux personnes handicapées. Elle remplace le macaron GIC et la plaque GIG. Les personnes concernées par ce changement ont dû recevoir avant le 31 décembre dernier leur nouvelle carte. C'est elle qu'ils doivent dorénavant apposer sur leur pare-brise pour tout stationnement sur un emplacement réservé.
    Si vous n’avez pas encore reçu cette carte, vous devez déposer une demande de carte européenne de stationnement dès à présent. Elles doivent être adressées au moyen du formulaire Cerfa n°13788*01 (accompagné du certificat médical Cerfa n°13878*01 ) à la maison départementale des personnes handicapées de Paris.