En 1998, la mairie du 12eme fut la 1ere municipalité parisienne à lancer un site internet. Aujourd’hui, la population s'est approprié les outils du web 2.0. Il faut, plus que jamais imaginer les passerelles entre le monde cybernétique du web et le monde bien réel de la ville.
Nous devons développer une stratégie de sensibilisation aux usages, de réduction de la fracture numérique et de développement de l’administration électronique.
La municipalité doit se saisir plus encore des technologies comme outil de progrès et d’émancipation.
Les enjeux sont à la fois sociaux, économiques et politiques.
Plusieurs initiatives peuvent être prisent :
- liaison de tous les établissements publics à internet
- mise en place d’un site pour les malvoyants
- création d’un week-end annuel consacré aux nouvelles technologies
- création de points multimédia municipaux
- mise en place d’un centre d’accueil pour les entreprises proposant des services de vidéo-conférence et la possibilité d’effectuer des travaux en réalité augmenté
- création une fois par an, du salon des jeunes créateurs de site, de blog et de webzine.
Toutes ces propositions ont pour but de réduire la fracture numérique bien sûr lié à la réduction de la fracture sociale, le développement de la démocratie locale, la modernisation du service public et des services à la population, la dynamisation économique du territoire tout cela dans l’affirmation des valeurs humaines et de la vision sociale.
Fils d'un orpailleur et d'une épicière de Cayenne, Félix Eboué bénéficiera d'une bourse d'études qui lui permettra d'entrer en classe de troisième au Lycée de Bordeaux en 1901. Admis à l'Ecole Coloniale de Paris en 1906, il sera envoyé à Brazzaville au début de l'année 1909 et affecté, à sa demande, à Oubangui-Chari. Nommé administrateur, il passera deux années à Bouka et une à Bozoum, à la frontière camerounaise. Chef de la subdivision de Demara en 1912, puis à Kouango près de Bangui deux années plus tard, il sera affecté à la circonscription de l'Ouaka puis à celle du Bas Mbomou en 1921. Il sera nommé chef de subdivision à Banguassou en 1923, puis à nouveau à l'Ouaka en 1927. Son long séjour en Oubangui lui donnera l'occasion d'écrire plusieurs ouvrages sur le langage et les peuples de la région. Il participera, en 1931, au congrès international d'ethnographie réuni à Paris à l'occasion de l'Exposition coloniale. Paul Reynaud, ministre des colonies, le nommera secrétaire général auprès du gouvernement de la Martinique en janvier 1932.
Le commerce de proximité, facteur d’animation et dont la nécessité n’est plus à démontrer, doit faire, lui aussi l’objet de toute notre attention. Les commerçants de proximité jouent un rôle majeur dans la vie de nos quartiers. Quelques pistes d’actions et de réflexions pour promouvoir cette dynamique :
A
La Seine est un élément important dans la vie et le développement de notre ville mais aussi de notre arrondissement. Nous reviendrons plus tard sur les possibilités d’aménagements possibles sur les berges. Cependant, dès les années 80, la Mairie de Paris et du 12eme avaient lancées la création du Port de l’Arsenal. 25 ans plus tard, nous pouvons imaginer les transformations suivantes :
Le cancer