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  • Décès de Vincent Casa

    CAsa.jpgJe viens d’apprendre la disparition de notre ami Vincent Casa. Depuis 1995, Vincent oeuvrait pour notre arrondissement avec convictions, efficacité et gentillesse. Nous n’aurons plus, hélas, l’occasion de le rencontrer dans les rues du 12e, où il était si présent.

    A Dieu Vincent !

     

  • Recyclage des sapins : un geste éco-citoyen

    Sapin.jpgChaque année, les nombreux sapins jetés sur la voie publique doivent être incinérés au même titre que les ordures ménagères, ce qui est coûteux pour la collectivité et contraire au développement durable. Pour inciter les Parisiens à faire un geste à la fois écologique et économique, la Ville de Paris met en place une opération de recyclage et propose à chacun de déposer son sapin naturel dans des espaces spécialement aménagés dans les jardins parisiens. Au lieu d'être abandonnés dans la rue, ils seront transformés en broyat et utilisés comme paillage directement répandu sur les massifs des jardins parisiens, ou comme élément pour la fabrication de compost. Voici les points de dépose, jusqu’au 23 janvier, dans notre arrondissement :

    Square Charles Peguy, 21, rue Rottembourg

    Saint Eloi, 11, rue du Colonel Rozanoff

    Bercy, 1, rue Joseph Kessel

    Fécamp, 54, rue de Fécamp

    Reuilly, 1, rue Albinoni

    Soult, 60, boulevard Soult

    Arsenal, 13, boulevard de l’arsenal.

     

  • Culture : le statut juridique des musées de la Ville de Paris doit évoluer

    Carnavalet.jpgLa Mairie de Paris gère 14 musée, dont le Petit Palais, le Musée d'art moderne, la Maison de ­Victor Hugo, Carnavalet ou le Musée ­Zadkine…. A 17h15, les visiteurs trouvent portes closes, exposition exceptionnel ou pas. A plusieurs reprises, certains musées ont voulu étendre les horaires. Mais c’est visiblement très difficile à mettre en place car cette mesure repose sur le volontariat et les négociations avec les organisations syndicales sont longues et périlleuses. A titre d’exemple, le Grand Palais qui accueil l’exposition Claude Monnet, vient de décider d’ouvrir jour…et nuit.

    Le manque de souplesse des musées de la Ville de Paris s'était déjà posé au printemps 2010 pour l'exposition Yves Saint Laurent au Petit Palais. Malgré un beau succès, les caisses fermaient à 17h15, et il n'y a eu qu'une nocturne exceptionnelle, le 28 août.

    Gérés par un système centralisé à la Direction des affaires culturelles, ils n'ont aucune autonomie. Dans un contexte où les Parisiens courent les expositions et réclament des heures d'ouverture adaptées à leurs horaires de travail, l'organisation est en porte-à-faux. Une enquête démontre ce que tout le monde sait: la lourdeur administrative des musées est telle qu'elle étouffe les opérations de communication autour des expositions, empêche toute flexibilité, génère du manque à gagner aussi bien en billetterie qu'en catalogues et rebute les mécènes.

    Il faudra bien que la Ville de Paris réforme ce système archaïque et offre à TOUS les parisiens, mêmes à ceux qui ne sont pas avant 20h00 chez eux, le choix d’aller visiter une expositions

  • Internet : la Ville de Paris met enfin ses infos à disposition de tous les citoyens

    CA5BZBQNCAGQ6P0YCAP3Y8WRCAGK8ZXFCA1QLNN0CAWIV9VVCAAHYUDACASU00W1CA9QS8HECADU0441CAX35LIMCADG6ADACAPECAN1CA423MYNCA7542EPCARA2B2TCAL6KCT6CACOGRM5CAMSLYDK.jpgD'ici fin janvier, un nouveau service verra le jour avec la naissance d'un site web dédié à l'ensemble des bases de données publiques. Ces documents resté jusque-là largement inexploité représentent une grande richesse. Il s'agit donc, grâce aux nouveaux moyens de communication, de le mettre à disposition du grand public. Les internautes pourront utiliser sans aucune limite le contenu de ces bases de données, les enrichir ou encore les exploiter. L’idée n’est pas nouvelle et s’inspire d’une démarche déjà existante dans certaines grandes métropoles comme San Francisco, Londres ou New-York : la mise à disposition gratuite de ces informations détenues par la Ville. Cette initiative devrait ainsi contribuer à booster l'économie numérique. Elle permettra notamment le développement de nombreuses applications pour smartphones et iPhones. On peut, par la suite, imaginer toutes sortes de choses. En donnant accès aux données officielles, une start-up pourra par exemple proposer un outil recensant l'ensemble des parkings deux-roues de Paris, les boulangeries, les parcs et jardins. Grâce aux archives cinéma, une autre pourra créer un service de visite virtuelle des lieux de tournage de la capitale. » Des bases concernant les parcs et jardins, les résultats des élections, la collecte de déchets ou la voirie sont déjà prêtes à être mises en ligne.

  • Personnes handicapées : une nouvelle carte pour stationner

    handi.jpgDepuis le 1er janvier, macaron GIC ou plaque GIG délivrés à titre permanent ont disparu. Dorénavant, c'est la "carte européenne de stationnement" qui les remplace et doit être apposée pour tout stationnement sur les emplacements réservés.
    La carte européenne de stationnement, ou "carte de stationnement pour personnes handicapées", permet à son titulaire ou à la personne qui l’accompagne de stationner sur les places réservées aux personnes handicapées. Elle remplace le macaron GIC et la plaque GIG. Les personnes concernées par ce changement ont dû recevoir avant le 31 décembre dernier leur nouvelle carte. C'est elle qu'ils doivent dorénavant apposer sur leur pare-brise pour tout stationnement sur un emplacement réservé.
    Si vous n’avez pas encore reçu cette carte, vous devez déposer une demande de carte européenne de stationnement dès à présent. Elles doivent être adressées au moyen du formulaire Cerfa n°13788*01 (accompagné du certificat médical Cerfa n°13878*01 ) à la maison départementale des personnes handicapées de Paris.

  • Les grandes réalisations du 12eme

    1987556430.jpgVaste de 55 000 m², le palais omnisport peut accueillir de 3 500 à 17 000 places assises, 18000 spectateurs assis/debout dans un espace modulable adapté à presque tous les sports. Le palais omnisport comprend également une patinoire géante, la patinoire Sonja-Henie.

     Grâce à une charpente métallique de 6 400 m², ce dispositif original, imaginé et réalisé pour la première fois au monde, permet une série d'applications techniques sans limite pour la sonorisation, les éclairages et les effets spéciaux, tant pour le sport que pour les spectacles

     

    Dans les années 70, La ville de Paris projeta de construire le quartier de Paris-Bercy. Le palais omnisport faisait partie de l'important projet d'aménagement urbain de ce secteur de Paris, qui devait bénéficier par ailleurs d'un accès excellent (proximité de la gare de Lyon, du RER, du métro, de la voie express rive droite et du boulevard périphérique).En mai 1979, la ville de Paris lança une consultation auprès de 16 équipes d'architectes. Le 23 octobre 1979 la ville désigna l'équipe Andrault – Parat – Prouvé - Guyan lauréate du concours, et lui en confia l'exécution. Le travail d'étude commença en octobre 1979, la construction débuta en mars 1981 pour se terminer deux ans et demi après, en décembre 1983[]. Il fut inauguré le 3 février 1984 par Jacques Chirac alors maire de Paris par une épreuve cycliste mythique : les six jours de Paris.

    Cet équipement fut l'un des premiers pour le développement de l'est parisien (bien avant la bibliothèque François-Mitterrand, le parc de Bercy, et le ministère des Finances). Il marque l'entrée nord-ouest du parc de Bercy.

    Le palais omnisport est le siège de manifestations sportives régulières ou exceptionnelles dans d'innombrables disciplines différentes, dont certaines inhabituelles dans un contexte « intérieur ». D'autres types de spectacles et de manifestations culturelles sont également organisées à Paris-Bercy : opéras, danse, spectacles sur glace, spectacles équestres, festivals d'arts martiaux, La Nuit du zapping, meetings politiques, conférences, etc…

     

    Le POPB, édifice majeur de notre arrondissement est aujourd’hui reconnu par tous. Né d’une volonté politique d’aménagement très forte, il est le symbole du réveil de l’Est de Paris dans les années 80. Force est de constater que depuis cette période, le 12eme et les arrondissements de l’Est de la capitale ne bénéficient plus de grands projets novateurs et rassembleurs.

  • Un bateau restaurant coule au port de Bercy

    A lire dans le Parisien

    Un toit de cabine dépassant péniblement de l’eau. C’est tout ce qui reste visible aujourd’hui du bateau restaurant «Harmony». Amarré à la péniche Melody blues au port de bercy (XIIe), ce bateau de 33 métres a coulé dans la nuit de mardi à mercredi. Pouvant accueillir jusqu’à 100 personnes et habituellement loué pour des soirées privées, «Harmony» était heureusement vide lorsqu’il a touché le fond du fleuve (...)

     

  • Le plan de vidéoprotection pour Paris

    Caméra.jpgLe «plan de vidéoprotection pour Paris » (PVPP), baptisé «plan 1000 caméras», vient d'entrer dans sa phase active, avec le lancement de travaux d'aménagement dans les 20 commissariats d'arrondissement de la capitale. Au moins 250 d’entre elles seront implantées avant la fin 2011. La préfecture de police vient de publier les arrêtés fixant, arrondissement par arrondissement, les emplacements des futures caméras. Si ces implantations étaient en grande partie déjà connues, elles sont désormais définitives. Au final, les caméras seront placées dans les zones les plus sensibles : Champ-de-Mars, square Louise-Michel (butte Montmartre), place du Châtelet, place Vendôme…

    Notre arrondissement aura également son lot de caméras. Voici la localisation des 60 caméras dans le 12eme. 

  • Et si l’aménagement des quais tombait à l’eau ?

    images.jpgArticle à lire dans le journal le Parisien du 30 décembre 2010

    La crue de la Seine conduit certains à juger risqués les projets de piétonnisation des voies sur berge voulus par Bertrand Delanoë. Mais la mairie de Paris assure que tout est prévu.
    Depuis hier, la Seine regagne petit à petit son lit, après avoir largement débordé ces derniers jours sur les voies sur berges. L’eau disparaît, mais pas les interrogations : les projets d’aménagement des voies sur berge, voulus par le maire de Paris, ne risquent-ils pas d’être menacés par ces crues récurrentes ?
    Régulièrement, le fleuve parisien déborde.
    Plusieurs crues ont recouvert les berges en 2006, 2004 et 2001. A chaque fois, la circulation a été fermée sur des zones plus ou moins grandes, rive droite comme rive gauche. Et ensuite, il faut remettre en état les voiries. Les projets de gradins pour spectacles, de terrasses de cafés, de salles culturelles, de terrains de sport ou d’îles flottantes peuvent-ils résister à la montée des eaux? Pour la mairie, il n’y a aucun problème : « Le phénomène de crue a évidemment été intégré au projet, explique-t-on au cabinet de Bertrand Delanoë. De toute façon, on ne peut rien aménager qui ne soit pas conforme à la loi sur l’eau. Ce sera le cas pour les aménagements des voies sur berges. »

    Démontage en trois jours

    Plusieurs solutions sont envisagées : des constructions en dur qui peuvent être mises en eau, et qui ne gênent pas l’écoulement de la crue, des aménagements amovibles… « On peut créer des structures temporaires, qui doivent pouvoir être démontées en trois jours maximum », poursuit la mairie de Paris. Les gradins comme celui prévu en contrebas du musée d’Orsay pourraient être démontables ou inondables. La mairie assure que les projets d’îles flottantes ne sont pas remis en cause par un niveau trop haut de la Seine.
    Des interrogations demeurent cependant : le restaurant salle de spectacles prévu dans les piles du pont Alexandre-III est-il compatible avec une crue? De plus les différentes autorités compétentes sur le fleuve ont spécifiquement pointé le risque d’inondation, comme la préfecture de police, le Port autonome ou les Voies navigables de France.

  • Bonne année !

    Je vous souhaite une belle et heureuse année 2011 !