Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Pour la petite enfance, un nouveau mode de garde

    Quand un maire fut élu pour la 1ere fois en 1977, seules 3 crèches existaient dans le 12eme. Entre 1977 et 2001, 17 crèches municipales on été construites permettant de doter notre arrondissement de plus de 1000 berceaux. Outre un effort permanent dans la construction d'accueil pour les plus jeunes, il est intéressant de développer des structures originales. Dans notre arrondissement, il existe ce que nous appelons les mini crèches. Celles-ci sont situées en appartement et fonctionnent en horaires décalés (7h30 – 21h00). Nous pensons qu'il faut développer ces crèches afin de permettre aux parents qui travaillent tard, de laisser leurs enfants dans des structures adaptées a leur besoin. Nous reviendrons prochainement sur ce mode de garde qui nous parait important.

  • Proposition 13 : création d'une maison de l'emploi et du développement

     

    En plein coeur du quartier Picpus, proche de la Chambre des Métiers, nous pouvons imaginer la création d'une maison de l'emploi et du développement.

    L'objectif est clair :

    • créer une dynamique , au niveau de notre arrondissement pour l'emploi, en relation avec tous les acteurs de la vie locale. Sa mission sera donc d'être un lieu de relais, de relations, d'accueil et d'initiatives

    Relais : une banque d'offres d'emploi d'entreprises de notre arrondissement sera à la disposition des demandeurs d'emploi.

    Relations : la maison de l'emploi prendra l'initiative de créer des rencontres et des débats sur différents thèmes.

    Accueil : créer les bonnes conditions pour les jeunes entrepreneurs sera aussi l'une de ses missions.

    Initiatives : de nombreux actions pourront être montées : forum des jobs d'été, mise en place d'une permanence

    Cette maison travaillera en étroite liaison avec les structures de la Ville de Paris et la région Ile de France

     

  • Pour une réforme du statut de Paris

    Le territoire de la ville de Paris recouvre, aujourd’hui, deux collectivités territoriales, une commune et un département. La loi du 31 décembre 1982 a conféré un statut particulier à la ville de Paris, à la fois pour des raisons historiques (le pouvoir central se méfie de la légitimité du Maire de la capitale) et pour tenir compte de l’importance démographique de la ville. La ville est divisée en vingt arrondissements et chacun comporte :

    - un conseil d’arrondissement (organe délibérant) composé pour un tiers de conseillers de Paris élus dans l’arrondissement et pour deux tiers de conseillers d’arrondissement

    - un maire d’arrondissement (organe exécutif) élu parmi les conseillers de Paris de l’arrondissement.

     

    Le conseil d’arrondissement gère les équipements de proximité et constitue une sorte de décentralisation. La loi du 27 février 2002 a renforcé leur rôle en leur donnant notamment la responsabilité de créer de nouveaux organes consultatifs, les conseils de quartiers.

     Le Conseil de Paris, comprenant 163 membres, est à la fois l’organe délibérant de la commune (conseil municipal) et du département (conseil général), le maire de Paris constituant l’exécutif de la commune et du conseil général.

    Le maire de Paris est élu pour six ans par les conseillers de Paris et parmi ceux-ci. Il bénéficie des mêmes pouvoirs que les autres maires de commune à l’exception des pouvoirs de police. Ils sont exercés par le préfet de police, même si la loi du 29 décembre 1986 a rendu au maire quelques prérogatives (salubrité, maintien de l’ordre dans les foires et marchés, conservation du domaine public de la ville, auxquelles s’ajoutent les bruits de voisinage depuis la loi du 27 février 2002).

     

    Dans les mois qui viennent, nous souhaitons relancer le débat sur le statut de Paris. En effet, avec la création du Grand Paris, nous allons aussi devoir travailler sur l’évolution administrative de la capitale et proposer un nouveau cadre institutionnel.

  • Un peu d’histoire…le ministère des finances

    fi.jpgLe président de la République François Mitterrand choisira, le 17 décembre 1982, le projet présenté par Paul Chemetov et Borja Huidobro pour les futurs bâtiments Colbert, Vauban et Necker du nouveau ministère des Finances, qui devait quitter la rue de Rivoli dans le cadre du projet du Grand Louvre. Le transfert complet des services interviendra à l'automne 1989.

    Les architectes, inspirés par le viaduc de Bercy voisin, retiendront une forme de même nature pour le pavillon Colbert. Les deux arches de 72 mètres, l'une plongeant dans la Seine par-dessus le quai de Bercy, l'autre au-dessus de la rue de Bercy, reliées par une succession d'arches de 32 mètres, prendront la forme de portes monumentales. La pierre de Vilhonneur et agrégats de Comblanchien seront choisis pour rappeler les teintes de pierre des bâtiments parisiens. Le ton beige des parties métalliques évoque la teinte de la Tour Eiffel, point de repère de l'accès Ouest parisien. Le bâtiment Necker, courbe, longe les voies ferrées. Il fait entrer le ministère dans la ville, étirant l'architecture du bâtiment Colbert, grâce à ses arcades le long de la rue de Bercy, vers les bâtiments Sully et Turgot. Ces derniers reflètent dans leurs façades vitrées les tours, qui leur font face.

    Le bâtiment ministériel est séparé du boulevard de Bercy par une douve. L'accès à la cour d'honneur s'effectue après avoir franchi un pont puis une porte monumentale en bronze. L'entrée principale, rue de Bercy, est aménagée dans un ancien octroi du XVIIIème siècle. Conçus pour donner naissance à une nouvelle ville, les bâtiments sont agencés autour de rues, de galeries, de terrasses, de patios, de fontaines et de jardins qui respectent une géographie précise. Vers la Seine, l'hôtel des Ministres est prolongé par le hall majestueux du bâtiment Colbert, puis des lieux de circulation, de réception et les équipements collectifs (poste, cafétéria, restaurants, crèche, agence de voyages ...). Les bureaux sont plutôt répartis à l'ouest et au nord

     

  • Proposition 12 : faire du 12eme un arrondissement numérique

    numérique.jpgEn 1998, la mairie du 12eme fut la 1ere municipalité parisienne à lancer un site internet. Aujourd’hui, la population s'est approprié les outils du web 2.0. Il faut, plus que jamais imaginer les passerelles entre le monde cybernétique du web et le monde bien réel de la ville.

    Nous devons développer une stratégie de sensibilisation aux usages, de réduction de la fracture numérique et de développement de l’administration électronique.

    La municipalité doit se saisir plus encore des technologies comme outil de progrès et d’émancipation.

    Les enjeux sont à la fois sociaux, économiques et politiques.
    Plusieurs initiatives peuvent être prisent :

    - liaison de tous les établissements publics à internet

    - mise en place d’un site pour les malvoyants

    - création d’un week-end annuel consacré aux nouvelles technologies

    - création de points multimédia municipaux

    - mise en place d’un centre d’accueil pour les entreprises proposant des services de vidéo-conférence et la possibilité d’effectuer des travaux en réalité augmenté

    - création une fois par an, du salon des jeunes créateurs de site, de blog et de webzine.

     

    Toutes ces propositions ont pour but de réduire la fracture numérique bien sûr lié à la réduction de la fracture sociale, le développement de la démocratie locale, la modernisation du service public et des services à la population, la dynamisation économique du territoire tout cela dans l’affirmation des valeurs humaines et de la vision sociale.

  • L'Ile de France passe au tout numérique

    L’Ile-de-France passe au tout numérique le 8 mars 2011
    Le passage à la télé numérique, c’est l’arrêt de la diffusion des 5 chaînes analogiques reçues par l’antenne râteau et son remplacement définitif par la TNT ou autre mode de diffusion numérique (satellite, câble, ADSL ou fibre optique).
    Des animateurs du réseau « Tous au numérique » assureront des permanences en mairie et répondront à vos questions concernant ce passage au format numérique.

    Campagne d’information grand public organisée en Mairie du 12e :

    • Qu'est ce que le passage à la télé tout numérique ?
    • Qui est concerné et quand aura lieu le passage en Ile-de-France ?
    • Que faudra t-il faire pour continuer à recevoir la télévision ?
    • Quelles sont les aides financières et humaines mises en place ?

    Les lundis 14, 21, 28 février et le lundi 7 mars, de 9 h à 12 h et de 14 h à 17h

  • L’Ecole Municipale de sport accueille vos enfants pendant les vacances scolaires.

    Pendant les vacances, les EMS (Ecole municipale de sport) proposent une multitude d'activités sportives pour les enfants de 9 à 16 ans : Boxe, cirque, tennis ou tir à l'arc... Pour les vacances d'hiver, les stages se déroulent du 14 au 25 février 2011. L’idée est donc d’accueillir les enfants et les jeunes du matin au soir (9h30-17h / repas du midi inclus). Ils peuvent découvrir la discipline de leur choix et progresser au contact de sportifs de hauts-niveaux
    Téléchargez le programme
     

  • Pour promouvoir nos quartiers, adhérez à l'association VIVRE l'EST PARISIEN !

    Il y a presque un mois, nous annoncions le lancement de l'association VIVRE l'EST PARSIEN. Habitants depuis toujours nos quartiers, issus de la société civile, nous souhaitons mettre notre expérience, notre dynamisme et une réflexion engagée déjà depuis plusieurs mois au service de ces arrondissements qui dessinent l’Est de la Capitale.

     

    Regroupant déjà des femmes et des hommes du 12e et des quartiers environnants nous appelons à une approche nouvelle des ressources de l’Est Parisien, trop souvent méconnues, à propos de l’urbanisme, de la culture, du développement économique et de la vie associative. Approche ouverte à tous ceux qui souhaitent le dialogue et l’échange.

    Nos objectifs sont les suivants :

    - Promouvoir l’Est Parisien (11eme, 12eme, 13eme, 18eme, 19eme et 20eme arrondissement). 

    - Fédérer les citoyens et les acteurs de ces quartiers pour créer une dynamique novatrice au service des hommes et des femmes qui vivent et travaillent à l’Est de la capitale.

    - Participer aux débats concernant la vie de ces arrondissements et proposer des solutions innovantes aux problèmes existants

    - Mutualiser les moyens et les idées pour promouvoir nos quartiers

     

    Aujoud'hui, de nombreux habitants nous ont rejoint en adhérant. Beaucoup nous ont également exprimé leur soutien dans cette démarche.

     

    Téléchagez la lettre annonçant la création de l'association

  • Un peu d’histoire… la place Félix Eboué

    Dau.jpgFils d'un orpailleur et d'une épicière de Cayenne, Félix Eboué bénéficiera d'une bourse d'études qui lui permettra d'entrer en classe de troisième au Lycée de Bordeaux en 1901. Admis à l'Ecole Coloniale de Paris en 1906, il sera envoyé à Brazzaville au début de l'année 1909 et affecté, à sa demande, à Oubangui-Chari. Nommé administrateur, il passera deux années à Bouka et une à Bozoum, à la frontière camerounaise. Chef de la subdivision de Demara en 1912, puis à Kouango près de Bangui deux années plus tard, il sera affecté à la circonscription de l'Ouaka puis à celle du Bas Mbomou en 1921. Il sera nommé chef de subdivision à Banguassou en 1923, puis à nouveau à l'Ouaka en 1927. Son long séjour en Oubangui lui donnera l'occasion d'écrire plusieurs ouvrages sur le langage et les peuples de la région. Il participera, en 1931, au congrès international d'ethnographie réuni à Paris à l'occasion de l'Exposition coloniale. Paul Reynaud, ministre des colonies, le nommera secrétaire général auprès du gouvernement de la Martinique en janvier 1932.

    Félix Eboué sera ensuite affecté au Soudan français, puis rappelé en France en septembre 1936, à la demande de M. Violette, ministre des Colonies du gouvernement Blum. Il sera nommé de secrétaire général, puis gouverneur intérimaire, de la Guadeloupe en 1936, puis gouverneur de 2ème classe au Tchad, en juillet 1938. Refusant l'armistice signé par Pétain et Hitler, il prendra contact avec le général de Gaulle dès le début du mois de juillet 1940. La France Libre sera officiellement reconnue par les Britanniques le 7 août. Le Tchad, qui ralliera officiellement la résistance le 26 août 1940, entraînera dans son sillage la quasi totalité des territoires de l'A.E.F. (Congo - Cameroun - Oubangui-Chari). Le général de Gaulle, qui rencontrera Félix Eboué à Fort-Lamy en octobre 1940, le nommera membre du Conseil de Défense de l'Empire, gouverneur général de l'Afrique Equatoriale Française le 12 novembre 1940, membre du Conseil de l'Ordre de la Libération en janvier 1941. Félix Eboué, qui libèrera les chefs africains incarcérés par Boisson, soutiendra l'action des Forces Françaises Combattantes en Afrique du Nord. Il participera à la conférence de Brazzaville, entre les 30 janvier et 8 février 1944, au cours de laquelle seront définies les grandes lignes de la décolonisation. En vacances au Caire, Félix Eboué décédera d'une congestion pulmonaire le 17 mai 1944. Il sera inhumé au Panthéon.

     

  • Assurer le meilleur développement au commerce et à l’artisanat

    H07CAOCH7RSCADOZPLTCA5RVIL2CAMMUXHOCAJ1JR6NCAZM2MCWCAKH4RRTCAFW6L5HCAFWN5BWCABOK42HCAFARDG1CAPUO4B0CAASTLEFCAE0JUMHCA1IU8W3CAR42SLZCANF5XFOCAUI0HWECAZURRNG.jpgLe commerce de proximité, facteur d’animation et dont la nécessité n’est plus à démontrer, doit faire, lui aussi l’objet de toute notre attention. Les commerçants de proximité jouent un rôle majeur dans la vie de nos quartiers. Quelques pistes d’actions et de réflexions pour promouvoir cette dynamique :

    -          moderniser les marchés ; Aligre, Bd de Reuilly, cours de Vincennes, Saint-Eloi, avenue Ledru-Rollin, Bd Poniatowski / avenue Daumesnil.

    -          Soutenir et aider les associations de commerçants qui prennent en charge la défense et la promotion commerciale de tout un quartier

    -          Maintenir et développer une commission extra municipale du commerce regroupant les différentes associations et les représentants de la Chambre de Commerce

     

    A nos yeux, il revient à une municipalité de tout mettre en œuvre pour que soient créées les conditions favorables au maintien des activités, à leur développement et pour leur offrir des emprises leur permettant de s’installer et de s’agrandir. Ce fut le cas jusqu’en 2001, période durant laquelle les activités industrielles et artisanales étaient au cœur de tout projet d’aménagement. Ce fut, par exemple, la création d’immeuble industriels dans nos quartiers, l’implantation dans le quartier de Reuilly de la Chambre des métiers, la réhabilitation et la création du Viaduc des Arts. Ce fut aussi la création de Bercy Expo. Bref, la mise en place d’une vraie démarche proactive et réaliste.

    Plus que jamais, nous devons tout faire pour assurer le meilleur développement au commerce et à l’artisanat.