L’ensemble scolaire Paul Valéry accueil plus de 1300 élèves (collège-lycée)
Le collège et lycée, construits dans les années 1960 se composent d’une barre de 200
mètres de long, d’une tour de logements, et d’un bâtiment abritant la cantine. Il possède également un vaste terrain de sport.
L’opération consiste donc à reconstruire le lycée d’environ 10800 m² en portant les effectifs à 1420 élèves en enseignement général, technique tertiaire et industriel, et classes préparatoires aux grandes écoles. L’opération fera l'objet d'une démarche de qualité environnementale et d’un objectif "zéro énergie" visant un bilan neutre entre consommation et production d'énergie pour le lycée. Par ailleurs, pour élargir l’offre de places d’internat dans Paris, la construction d’un internat de 150 lits est envisagée sur le site. Les travaux s'achèveront à l'horizon 2018.
Montant des études : 9,944 M€ pour un montant total d’opération estimé à 56,500 M€
Benoît PERNIN - Page 52
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Reconstruction du lycée Paul Valéry, boulevard Soult
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Un lieu unique à Paris : le cimetière de Picpus
Notre arrondissement possède le seul cimetière privé de Paris, le cimetière de Picpus (35, rue de Picpus)
A l’origine, le jardin de ce couvent est devenu un haut-lieu des évènements de la Terreur, dans les années qui suivirent la Révolution. Il est situé près de la place du Trône (aujourd’hui place de la Nation). La guillotine fut érigée place de la nation le 17 juin 1794, la municipalité ordonna d'établir un cimetière à proximité, un jardin fut réquisitionné. Entre le 17 juin et la chute de Robespierre le 27 juillet 1794, 1306 personnes furent exécutées place de la nation, âgées de 14 à 90 ans, de toutes conditions sociales, parisiens ou provinciaux ramenés vers la capitale. Si la majorité des victimes étaient des gens du peuple, on trouve aussi parmi elles ,le prince Frederic III de salm-Kyburg, la duchesse d'Ayen, la maréchale et la vicomtesse de Noailles, les poètes Antoine Roucher et André Chénier, Eugène de Beauharnais, premier mari de l'impératrice Joséphine et les carmélites de Compiègne.
En 1802, La marquise de Montagu et Marie-Adrienne de Noailles, épouse du général de La Fayette lancèrent une souscription pour acquérir les terrains voisins des fosses communes. Un second cimetière fut ouvert, réservé aux descendants des guillotinés. Ainsi le général De la Fayette fut enterré dans ce cimetière. Chaque année, le 4 Juillet s'effectue la relève du drapeau américain qui flotte en permanence sur la tombe du Général. Le général Pershing en 1917 vint se recueillir sur la tombe du général et prononça les paroles célèbres applaudies par le Maréchal Joffre: " La Fayette nous voila".
Un endroit unique à Paris !
A noter, la page Facebook du cimetière de Picpus !
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Lancez un blog sur Paris !
Le concours revient pour une 2e édition. Si vous souhaitez ouvrir un blog qui traite d’un sujet original à Paris, déposez vite vos idées. Les 3 projets plébiscités par les internautes et le jury seront lauréats 2012 et seront accompagnés pour créer leur blog sur Paris.fr !
Fan de Paris, vous avez une idée pour explorer la ville sous un angle inédit. Un bon moyen est pour en faire profiter le plus grand nombre est de créer un blog. Et pourquoi pas accompagné par l’équipe de Paris.fr grâce à BlogmoiParis. Chaque année 3 nouveaux blogueurs viennent agrandir la famille des blogs de Paris.fr
Inscription : http://blogmoi.paris.fr/
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Dans le 12eme, 2 structures pour l’accueil des enfants en situation d’handicap : La Maison Dagobert – halte garderie Danièle Pernin
Ouverte en 1991, la Maison Dagobert - halte garderie Danièle Pernin, rue Erard, est d’abord un projet, puis aujourd’hui une réalité en plein cœur de notre arrondissement.
Cette structure développe des projets innovants concernant la petite enfance, la création et la gestion de structures favorisant l'intégration, parmi les autres, d'enfants porteurs de handicap, ou connaissant des difficultés diverses d'ordre social.
Pour en arriver là, il a fallu montrer beaucoup de ténacité, d’esprit de persuasion... et de patience. Le projet a commencé à germer il y a une vingtaine d’années au sein de l’équipe du Centre d’assistance éducative du tout-petit (CAE), situé dans le 12eme, rue Colonel Rozanoff.
L’idée est donc simple : créer un lieu d'accueil où un enfant sur trois est porteur d'un handicap.
Vaincues certaines résistances institutionnelles, la Ville de Paris, l’Union nationale des associations de parents d’enfants inadaptés (UNAPEI) et l’Association des paralysés de France (APF), partantes pour apporter soutien logistique et financier, la halte-garderie
Danièle Pernin ouvre enfin ses portes en février 1991. Sa charte: accueillir –à condition qu’ils soient suivis médicalement à l’extérieur– un tiers d’enfants porteurs de handicaps, quels qu’ils soient, parmi les enfants du quartier.Aujourd’hui notre arrondissement possède 2 structures de ce type.
L’une, la halte-garderie Danièle-Pernin, la maison Dagobert, rue Erard et la seconde, Jardin d’enfant Danièle Pernin, à Bercy, au 59 rue des Pirogues de Bercy (ouverte en 1998).
Ces haltes garderies sont une aubaine pour les parents à la recherche d’un mode de garde pour leurs enfants handicapés, et une réalisation intéressante pour les équipes spécialisées des Centres d’action médico-sociale précoce (CAMSP) qui se sont toujours efforcées de trouver crèches, haltes, écoles maternelles où une intégration de ces enfants soit possible.
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Toujours sur le terrain
Samedi matin, après une rencontre avec une dizaine d’habitants de la rue Claude Decaen durant laquelle nous avons évoqué les problèmes du quartier (sécurité, bois de Vincennes, foire du trône, stationnement), je suis allé à la rencontre des riverains et commerçants du Cours de Vincennes. Les questions sont toujours nombreuses concernant la future réhabilitation du Cours de Vincennes. Plus que jamais, dans une période électorale chargée, les habitants de notre arrondissement se préoccupent de la vie de nos quartiers, bien loin des promesses et autres présences de candidats juste avant les élections. Dimanche matin, je suis allé sur le marché Saint Eloi. Ce marché n’est pas à la hauteur des attentes des
riverains. En effet, entre la rue Erard, la rue de Reuilly et le quartier de Reuilly, ce sont des milliers de riverains qui seraient heureux de trouver, à proximité, un véritable marché. Une vraie réflexion avec les commerçants de la rue de Reuilly, le conseil de quartier, les riverains doit se mettre en place et proposer un espace commercial digne de ce nom. Nous en reparlerons dans les prochaines semaines.
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Propreté dans le 12eme : le double langage de certains élus
Étonnant ! Alors que de très nombreux habitants de notre arrondissement se plaignent, à juste titre, de la malpropreté de nos quartiers, certains élus (d’extrême gauche) de la majorité municipale, n’hésitent pas à salir eux-mêmes le mobilier urbain. Le 1er adjoint au maire du 12eme, soutien de M Mélanchon, à une drôle de vision de sa mission d’élu local. D’un côté, il « organise » les services de la ville pour nettoyer et de l’autre il dégrade volontairement le mobilier urbain (photo prise bd Diderot). Les employés municipaux chargés de la propreté apprécieront. Nous, riverains, ne pouvons que dénoncer ce double langage.
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Très beau succès pour la rencontre avec Nicolas Perruchot hier soir dans le 12eme
Hier soir, dans le cadre des rencontres du centre du 12eme, Nicolas Perruchot, député de la première circonscription de Loir-et-Cher depuis 2002 et membre de la Commission des finances de l’Assemblée nationale et ancien maire de Blois entre 2001 et 2008, était notre invité.
C’était la 4eme rencontre de ce genre dans notre arrondissement. Les habitants du 12eme étaient nombreux à venir découvrir notre invité et pour la première fois, des représentants de toutes les familles centristes étaient présents (Nouveau Centre, Radicaux, Modem).
Ce débat passionnant fut l’occasion pour Nicolas Perruchot d'évoquer l’histoire de son rapport parlementaire sur le financement des organisations syndicales et patronales qui n’a jamais été publié. En effet, ce rapport a été rejeté par les députés UMP et PS en novembre dernier. A partir de ce rejet, Nicolas Perruchot ne pouvait rien publier sous peine de sanctions pénales. Durant plus d’une heure, notre invité a évoqué la façon dont il avait construit ce rapport « interdit », De très nombreuses questions sur la vie syndicale, son financement et son avenir ont rythmé cette réunion. Il a aussi évoqué sa proposition de loi votée fin janvier sur le financement des comités d'entreprises. Enfin, il a lancé une pétition en ligne pour la publication de son rapport.
Nicolas Perruchot est un parlementaire courageux, s’investissant avec force et convictions dans la vie publique. Ce fut un débat passionnant, qui redonne à la politique, tout son sens !
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Demain, mardi, café politique avec Nicolas Perruchot, député et auteur du rapport parlementaire sur le financement des organisations syndicales et patronales
Les Rencontres du Centre du 12ème
Benoît PERNIN
et toute l’équipe du 12eme arrondissement,
ont le plaisir de vous convier à un café-politique exceptionnel avec
Nicolas PERRUCHOT
Député du Loir-et-Cher
Auteur du rapport parlementaire sur le financement des organisations syndicales et patronales
Mardi 14 février 2012 à 19h30
au Félix Café
40, boulevard de Reuilly - 75012 Paris
(Métro Daumesnil)
A l’occasion de cette 4eme rencontre, nous évoquerons les sujets d’actualités mais également les différentes initiatives de notre invité et en particulier ses différents rapports et propositions de lois.
Contacts
benoitpernin@yahoo.fr – 0672778475 - http://12eme.hautetfort.com
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Le VIA va-t-il quitter le 12eme et le Viaduc des Arts ?
Selon nos informations, le VIA devrait quitter notre arrondissement avant la fin de l’année. Cette décision des autorités de tutelles (l’UNIFA et le Ministère de l’Industrie) n’est pas une bonne nouvelle pour notre 12eme.
Le VIA (Valorisation de l’Innovation dans l’Ameublement), implanté dans 900m² avenue Daumesnil, dans le Viaduc des Arts, depuis 1995, a pour vocation de valoriser et de promouvoir la création française dans le secteur du design appliqué au cadre de vie, en France et à l'étranger. Ses actions s'adressent aux professionnels, groupes industriels, petites et moyennes entreprises, artisans, éditeurs, distributeurs, métiers de la création, ainsi qu'au grand public, par le biais d’expositions.
Ce projet de départ serait donc une mauvaise nouvelle pour le Viaduc des Arts et l’attractivité de notre arrondissement. En effet, le Viaduc des Arts représente d’abord un pôle de création fortement ancré dans l’histoire de l’arrondissement avec le Faubourg Saint Antoine mais aussi largement tourné vers l’avenir en termes d’innovation et d’attrait. Le VIA, ensuite, qui était l’un des premiers à y venir s’installer et un lieu vivant propice à la découverte et à l’écoute des signaux du temps présent. Dés le début des années 90, la Mairie du 12eme s’était fortement engagée pour la venue du VIA. Aujourd’hui, force est de constater qu’aucun élu ne s’est insurgé contre cette volonté de déménagement (mais sont-ils au courant ?), pourtant pôle d’animation indiscutable. Si ce départ se confirme, ce sera un mauvais coup porté au 12eme, à son attractivité et à son avenir.
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Toujours sur le terrain !
Samedi, après avoir rencontré les commerçants du boulevard Diderot et de la rue de Reuilly, je suis allé aux journées portes ouvertes de l'école Boulle. Beaucoup de monde pour découvrir ces métiers d'avenir. Cette école est le fleuron de la création à la française et s'inscrit dans le patrimoine de notre arrondissement en lien direct avec le faubourg Saint Antoine mais aussi le Viaduc des Arts, qui, depuis 1995 est un pôle d'attractivité unique à Paris. L'innovation en action !