Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Paris - Page 9

  • 1er et 2 juin, portes ouvertes des ateliers d'artistes du 12eme arrondissement

    po.jpgDurant le week-end du 1er et 2 juin, les artistes du 12eme ouvrent leurs ateliers pour partager avec vous leur savoir-faire et leur passion lors des Journées Portes Ouvertes des Ateliers d’artistes. Cet évènement est le 8eme du genre. D’un bout à l’autre de l’arrondissement, il y en aura pour tous les goûts : peinture, illustration, sculpture, gravure, céramique, photographie…

    Notre arrondissement est, historiquement, le quartier de Paris dans lequel artisans et créateurs étaient très présents. Cette tradition est en train de renaître depuis plus de 15 ans. En effet, entre le Viaduc des Arts, l’école Boulle, les nombreux ateliers d’artistes et la renommée du Faubourg St Antoine, nous pouvons créer une véritable vitrine des métiers d’arts et de la création. Mais cette dynamique doit aujourd’hui être accentuée et soutenue. Nous pouvons imaginer de nombreux projets pour développer cette attractivité.

    Dans tous les cas, profitez de ce week-end pour (re)découvrir les artistes de talents de notre arrondissement !

  • A Paris et dans le 12eme, le Centre sera un acteur majeur des élections municipales en portant un projet innovant et en ayant un comportement ouvert et tolérant

    La France a besoin d'une force politique consensuelle et responsable. Seul un Centre uni et rassemblé, aujourd’hui réalité sous les couleurs de l’UDI,  pourra élaborer un véritable projet de société capable d'affronter les défis que sont la sortie de crise, la gouvernance européenne, la compétitivité, l'emploi, le pouvoir d'achat. Le centre en France est une réalité. A nous de lui donner les moyens d’exister en affirmant nos convictions.  Cette démarche n’exclut pas de nouer, dans la clarté, des alliances autour d’un projet de société et d’une vision partagée. C’est même la logique de la Ve République. S’isoler n’aurait aucun sens. Affirmer notre penser, convaincre nos concitoyens et porter des idées neuves et un projet novateur  sont des démarches qui peuvent demain, faire gagner notre pays. C’est surtout une possibilité de faire vivre le débat, de confronter notre vision et de proposer un nouveau chemin pour notre pays mais aussi pour l’Europe.

     

    terrain.jpgA Paris, le centre à toute légitimité à exister. Dans la capitale, dans nos quartiers il fut un acteur majeur de la vie politique.  Il peut même être, aujourd’hui, une alternative dans de nombreux arrondissements. l’UDI, le Centre rassemblée, sera une force incontournable à l’occasion des prochaines échéances municipales dans la capitale et en particulier dans le 12eme arrondissement. C’est la raison pour laquelle nous nous organisons depuis plusieurs mois,  fédérons les énergies pour  promouvoir nos convictions et démontrons, ensemble, que la ville de Paris n’est pas une forteresse imprenable. Grâce à notre travail sur le terrain, à nos rencontres thématiques et nos échanges permanents avec les habitants nous apportons la preuve que la politique locale a aussi toute sa place, qu’il est possible de faire de la politique terrain2.jpgautrement. Nous travaillons aussi à un projet pour Paris, actuellement décliné pour le 12eme arrondissement. Notre objectif est aussi de démontrer que le 12eme arrondissement n’a pas vocation à rester entre les mains de l’actuelle majorité PS/Verts/FG. C’est la raison pour laquelle, en plus du projet, il faut des hommes et des femmes installés depuis de longues années et œuvrant dans nos quartiers depuis toujours pour être « les visages » de cette alternance.  Nous devrons donc porter un projet innovant en ayant un comportement ouvert et tolérant. C’est cette dynamique qui permettra à la Ville de Paris et au 12eme arrondissement d’entrer, enfin, dans le XXIème siècle.

  • Faire évoluer le statut de Paris et créer un vrai dialogue avec la Préfecture de police

    Dialoguer avec la Préfecture de Police de Paris pour mettre en place des équipes de police fidélisées, renforcées et plus proches du terrain et des citoyens devra être un projet et un objectif commun.

    On ne le répétera jamais assez ; à Paris, le Préfet de police exerce les fonctions dévolues aux maires des communes de plein exercice et, à ce titre, il dispose à ce titre d’un pouvoir de police administrative générale,  de pouvoirs de polices administratives spéciales dans les domaines de la circulation et du stationnement mais aussi en matière de protection civile. Fort de ce constat, c’est la raison pour laquelle, je suis favorable à une révision de la loi dites PLM et donc du statut de Paris donnant des pouvoirs de police au Maire de Paris.

    En attendant, la sécurité et la protection des habitants du 12ème et des biens, doivent faire l’objet d’une action prioritaire de l’équipe municipale.

    A partir des Conseils de quartiers et en concertation avec ceux-ci, nous pouvons mettre en place des référents en charge de la sécurité, que nous réunirons tous les trimestres pour un rapport qui permettra un dialogue avec la Préfecture de Police dans le but d’obtenir de meilleurs résultats en partenariat avec la police de proximité. Nous pouvons aussi faire vivre le contrat local de sécurité signé en mai 2003 et nous devons demander entre autres aux bailleurs sociaux, de participer davantage à l’amélioration de la sécurité des immeubles. Trop de cambriolages pourraient être évités avec des moyens de protection d’entrées des immeubles mieux adaptés. Compte tenu de l’importance de la sécurité et de la prévention de la délinquance, nous pourrions organiser 4 à 5  rencontres annuelles du Comité de Sécurité et de Prévention de la Délinquance.

  • A Paris, 54% des Parisiens voteront en fonction des enjeux locaux pour les municipales

    Opinion Way a réalisé un sondage exclusif pour France 3 Ile de France et Public Sénat afin de connaître les attentes des parisiens concernant la future élection municipale de 2014. Il est déjà intéressant de constater une chose : 54% des habitants sondés estiment "qu'exprimer une opinion sur l'action du gouvernement et du président de la République ne sera pas essentiel" au moment de leur vote et 76% des sondés voteront en fonction des projets contre 23 % en fonction de la personnalité des candidats. Au contraire, 29% des personnes interrogées comptent sur ce scrutin municipal pour exprimer une opposition à la politique du gouvernement alors que 15% souhaitent exprimer un soutien à l'action du président de la République.

    rdv2.jpgCe sondage confirme ce que nous affirmons depuis des mois : il est important de proposer un projet local porté par des candidats locaux. Nous devons écouter « le » local et préparer l’avenir. Avec la connaissance des dossiers et dans l’Union. Dans le travail quotidien à l’écoute de tous et pas uniquement à l’aube des campagnes électorales entouré d’un clan.  Écouter ceux qui vivent au jour le jour dans nos quartiers pour connaître les attentes et l’expression de chacune et de chacun. La politique nationale a ses racines dans la réflexion locale. C’est une règle d’or. C’est la raison pour laquelle nous sommes très souvent sur le terrain et avons lancé « Les Entretiens du 12eme arrondissement » !

    rdv3.jpgA noter également dans ce sondage, les 1ere pistes concernant les thèmes de campagne. Sans surprise, le logement arrive en tête pour 41 % des sondés avec une pointe à 61% pour les 25-34 ans.
    Arrivent en deuxième et troisième position, le développement économique (36%) et la sécurité (34%). A noter que ces deux domaines ne relèvent pas de la compétence stricte du maire de Paris. L'emploi est surtout un souci majeur pour les 50-64 ans (41%) alors que l'inquiétude sur la sécurité est partagée par toutes les tranches d'âge et sociales à l'exception des 18-24 ans (21%). Le cadre de vie arrive en quatrième position à 23%, talonné par la circulation (22%). La culture en revanche n'est un thème de campagne que pour 6% des parisiens sondés.

  • Mobilier urbain intelligent : un vrai défi d’aménagement et d’innovation pour les parisiens et nos quartiers

    abri-bus-station-place-bastille-ratp-jc-decaux-paris.jpgDepuis plusieurs mois, la mairie de Paris expérimente à travers nos quartiers une vingtaine de « mobiliers urbains intelligents » qu’elle a retenue après appel à projets. Ils sont testés «dans les conditions du réel» et installés dans différents arrondissements parisiens dont le 12e. L’objectif était avant tout de permettre aux Parisiens, mais aussi aux touristes, de pratiquer puis de donner leur avis sur l'esthétique, la praticité ou tout simplement l'intérêt de ces innovations. La Ville a déjà reçu des centaines de retours qui permettent de se faire une idée des MUI qui feront sûrement partie de notre futur paysage quotidien. Et déjà quelques projets se détachent et obtiennent une approbation positive comme par exemple l'escale numérique, station de repos et d'information design avec WI Fi, et recharge téléphone et écran digital interactif avec de nombreux renseignements, installé dans un quartier touristique de Paris.
    Autres MUI plébiscités: le X-Last, un potelet lumineux à mémoire de forme, qui permet de se garer plus facilement et qui a l'avantage d'absorber les chocs sans dommage. Il est du reste en cours de déploiement. Enfin, l’abribus du futur installé place de la Bastille est aussi un succès. : des écrans donnent accès à des infos pratiques en temps réel, un toit high-tech protège les voyageurs du soleil et des prises USB permettent de recharger son portable.
    Ces services urbains de proximité́, pour la ville connectée de demain sont aussi, pour de nombreuses start-up et PME, le moment de proposer leurs innovations. C’est un axe de développement important. La ville et les nombreuses structures existantes doivent concentrer leurs efforts. C’est notamment dans cette optique que nous pouvons imaginer le futur de l’ex-bâtiment Surcouf avenue Daumesnil : la création d’un incubateur dédié aux entreprises innovantes.

    Le mobilier urbain marque souvent l’histoire d’une ville et fait partie intégrante de son image. C’est un vrai défi que la ville de Paris doit relever, dans la concertation avec ses habitants pour faire de Paris, une ville du XXIème siècle innovante et attractive !

  • Paris doit digitaliser ses services pour la vie quotidienne et développer son attractivité numérique

    num.jpgParis est une ville en retard sur l’utilisation et l’optimisation des nouvelles technologies et plus généralement, sur le digital. En effet, alors que la ville de Londres vient d’embaucher l’ancienne patronne de Facebook Europe pour s’occuper de l’attractivité de son territoire en matière d’innovation, que New-York s’est adjoint les services de Rachel HAOT, égérie 2.0, aux commandes de la destinée digitale de cette ville, Paris reste sur le bord du chemin. Ces initiatives témoignent de la poussée de l’omniprésence des réseaux numériques dans la vie quotidienne des citadins qui modifie fortement l’accès aux services et aux ressources de la ville.  

    En ce qui concerne Paris, ce qui est finalement regrettable, c’est à la fois le manque d’ambition mais surtout de vision de l’actuelle majorité dans ce domaine. Une étude récente montre, par exemple, que la ville de Paris est classé 5eme sur l’utilisation de twitter…. Angers étant à la tête de ce classement.

    2 axes peuvent et doivent être développés : la vie quotidienne et l’attractivité de la capitale pour l’e-commerce et les start-up.

    Au-delà de son utilisation, le digital est aujourd’hui un enjeu concernant notre vie quotidienne, les usages et l’attractivité. C’est surtout la ville de demain que nous pouvons construire. Alors oui, il existe ici ou là des initiatives. Mais nous considérons que le digital doit être au cœur de toutes les démarches et non pas géré à côté. Un tel écosystème doit instaurer un nouveau rapport entre les citadins et l’espace public, sa vie quotidienne. Il peut par exemple s’agir  d’une application via son téléphone portable afin de prévenir les services municipaux pour qu’ils interviennent pour signaler l’endommagement de panneaux routiers, l’apparition de nids de poule sur la chaussée,  un éclairage défectueux dans les rues…. Mais aussi  connecter les étudiants à des sites de jeunesse, trouver une activité lorsque les parisiens  ne sont pas chez eux ou sont sur le point de sortir et aussi obtenir des informations de nature touristique.

    En matière économique et d’attractivité, dans un marché numérique dominé par les réseaux sociaux, les applications mobiles et l'e-commerce, Paris doit enfin s'imposer comme un nouvel eldorado pour les start-up du secteur. La ville peut très bien lancer plusieurs programmes  ayant pour objectif le développement d’applications liés à Paris et au Grand Paris. Ce projet pourrait répondre à une double volonté : inciter les jeunes à penser très tôt à  l'entrepreneuriat et créer des vocations. L’idée est donc de les motiver pour venir s’installer à Paris, dans des lieux dédiés.

    Enfin, le numérique est un levier essentiel de l’attractivité et du développement du Grand Paris. C’est un enjeu de compétitivité, déjà bien compris par d’autres capitales européennes. En 2014, il sera donc temps de mettre le digital au cœur du projet pour Paris… pour les parisiens !

  • Réunion de l’UDI 12eme arrondissement : une équipe en ordre de marche !

    UDI1.JPGMercredi 20 février s’est tenu la réunion mensuelle des adhérents de l’UDI 12eme dans un café avenue Daumesnil. Après un tour de table pour accueillir les nouveaux adhérents,  plusieurs thèmes ont été abordés : la stratégie nationale de l’UDI et notre action à Paris, l’activité des commissions parisiennes pour la construction de notre projet pour les élections municipales, notre organisation dans le 12eme et la déclinaison du projet pour notre arrondissement. Plusieurs actions sont d’ores et déjà prévues dans les semaines qui viennent : opération de tractage, rencontre avec les acteurs de notre arrondissement, organisation de débats….

    L’UDI du 12eme est maintenant en ordre de marche avec des adhérents motivés, nombreux et une structure en place. Notre arrondissement fut, durant de très longue année, représenté par le Centre en raison, notamment de sa sociologie et de son histoire.  Nous sommes nombreux à penser que notre famille politique, très impliqué dans notre arrondissement en raison de ses réalisations urbaines (coulée verte, viaduc des arts, Bercy, jardin de Reuilly, port de l’Arsenal…) peut faire basculer notre arrondissement.  Cependant, cette victoire ne sera possible que dans l’union mais aussi en travaillant quotidiennement sur le terrain, en portant un projet innovant et en ayant un comportement ouvert et tolérant !

  • Jusqu’au 27 février, visitez l’exposition « L’art et la matière »

    imagesCA7HZ8EU.jpgL’école Boulle expose pour la première fois à la mairie du 12ème « L’Art et la Matière », un parcours scénographique qui arpente les chemins des artisans. Des ébénistes, des professeurs et des élèves livrent leurs témoignages par des vidéos et dessins allant de 30 à 50 ans d’archive. Des vitrines d’objets de création, des souvenirs, en bref l’histoire du savoir-faire «  Boulle ».

    Tout a commencé rue Reuilly en 1886, mais c’est en 1891 que l’établissement s’est installé rue Pierre Bourdan, au fil des ans son savoir-faire à transformé ce modeste établissement en « école Boulle » du nom du célèbre ébéniste de Louis XIV - André-Charles Boulle (1642-1732). En 1969, l’école devient l’Ecole supérieure d’Arts Appliqués. Aujourd’hui ce lieu est renommé en plus d’être devenu mythique.

    Le visiteur se promène dans une véritable clairière puis pénètre à l’intérieur de la pièce phare de l’exposition, l’atelier idéal de l’ébéniste, une sphère géante en bois de 2 mètres 30 de diamètre réalisée par les Ateliers de la Ville de Paris. L’exposition se termine par un espace consacré à l’orfèvrerie et un autre qui met en lumière le travail de deux étudiants diplômés de Boulle l’an dernier, Jeanne Riot et Germain Croze. Ils offrent au spectateur leurs réflexions, la première sur l’idée du souvenir de l’objet, le second avec un projet intitulé « Manger Vivant ». Chaque étape du parcours est accompagnée d’une ambiance olfactive imaginée par le parfumeur Francis Kurkdjian.

    L’exposition sera ensuite itinérante dans plusieurs endroits à Paris.

  • Taxe de balayage à Paris : une augmentation qui touche tous les parisiens

    balayage.jpgLe 26 septembre 2011, le Conseil de Paris votait une réforme de la taxe de balayage qui comprenait la mise en place d'un barème unique pour toute la capitale. Ce vote a ainsi permis de mettre un terme à des inégalités de traitement entre les différents territoires parisiens qui remontaient au 19e siècle.

    Malheureusement, cette réforme a aussi eu pour résultats des hausses brutales de la taxe pour certains habitants de la capitale (+ 688% pour certains..). En effet, le calcul de cette taxe est fonction du linéaire de voierie. Par conséquent, les montants peuvent beaucoup varier selon que cette taxe s’applique à une maison ou à un immeuble, qu'elle pèse sur un immeuble donnant sur une ou deux rues, ou qu'elle est due par des résidents ayant vue sur cour ou sur rue.

    Le Conseil de Paris a donc voté le 11 février 2013 un vœu visant à obtenir un changement des modalités de calcul de cette taxe. Le seul but -inavoué- de ce vœu, est une nouvelle fois de prélever de nouvelles recettes, sans aucune compensation en termes de service rendu, en l’occurrence en matière de propreté. Cette nouvelle taxe de balayage va permettre à la municipalité de percevoir 30 millions d’euros supplémentaires par an. Ce qui est ahurissant dans cette histoire, c’est que tout le monde est touché. En effet, le propriétaire est en droit d’en obtenir le remboursement par le locataire. C’est donc une mesure générale, qui va impacter l’ensemble des logements parisiens…et donc les habitants.

  • Un recours contre la création de l’aire d’accueil des gens du voyage dans le Bois de Vincennes

    bois de vincennes.jpgLe Conseil de Paris vient d’autoriser, en début de semaine, la création d’une aire d’accueil pour les gens du voyage dans le bois de Vincennes. Les maires de six villes voisines du bois de Vincennes vont déposer un référé au tribunal administratif de Paris contre ce projet.
    Ils sont effectivement agacés du manque de dialogue de la Ville. Les maires de Saint Maurice, Charenton, Joinville, Maisons-Alfort, Saint-Mandé et Vincennes ont décidé de déposer un recours contre la décision d’implantation d’une aire d’accueil de 0,53 hum dans le bois de Vincennes, sur le parking parisien jouxtant l’hippodrome.
    «Le conseil a le culot de parler d’aménagement de parkings, affirme Christian Cambon, alors qu’en vérité Paris ne veut pas d’aire à proximité de ses propres arrondissements mais envoie les gens dans un véritable cul-de-basse-fosse sans proximité d’école, de centres de soins ou sociaux.» Olivier Dosne, le maire de Joinville évoque lui aussi «une décision non objective» et en appelle «à la raison et au tour de table». Tout cela prouve plusieurs choses : tout d’abord, la concertation tant mise en valeur par la majorité parisienne n’est qu’un mirage. Ensuite, nous constatons que malheureusement le Grand Paris est très loin d’être une réalité. Si sur un tel sujet, qui concerne Paris et ses communes limitrophes le débat et l’échange n’existe pas nous ne sommes pas prêts à aborder d’autres sujets communs. Enfin, nous le demandons depuis des années, le vrai sujet est l’avenir du bois de Vincennes dans son ensemble. Il est plus que temps d’avoir un projet global et réfléchir ensemble à son renouveau (Pelouse de Reuilly, Foire du trône, desserte, circulation, attractivité, rénovation de la Cipale)


    Une fois de plus, voilà l’exemple d’un projet mal préparé, idéologique, et bien éloigné des préoccupations des habitants de notre arrondissement et des communes voisines.