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Benoît PERNIN - Page 73

  • Proposition 2 : promouvoir le commerce de proximité

    Promouvoir le commerce de proximité en créant une commission extra-municipale pour le commerce et l’artisanat qui se réunira une fois par trimestre à la mairie du 12ème. Lutter contre la monoactivité par le biais des permis de construire et du droit de préemption.

     

    Inutile de rappeler la nécessité de nos commerces de proximité, fédérateurs en matière sociale et économique.

    Il ressort une attente forte de ces commerces par les riverains, la suppression de ces boutiques de première nécessité (boutiques de bouche) est une mort à moyen terme de nos rues.

    En luttant contre la mono-activité, principalement dans notre 12ème - informatique et agences bancaires - en infiltrant les commerces vitaux, nous recréerons ainsi “l’ambiance village”.

    Aussi, nous devrons apporter notre aide aux jeunes sortis des écoles d’apprentissage (exemple : Ecole de boucherie – Boulevard Soult) en partenariat avec les Chambres de Commerce et des Métiers, en créant dans les secteurs du 12ème, manquant de commerces de bouche, des marchés couverts (en exemple avec celui de la Place d’Aligre – Marché Beauveau).

    La Mairie doit accompagner le développement de ces “jeunes commerces” par un suivi trimestriel, assisté d’acteurs économiques (Ville de Paris – Région – Consultants).

    Nous devons également apporter une aide financière et logistique aux Associations de commerçants, afin de développer l’attractivité commerciale, en particulier dans les quartiers défavorisés, avec une étude sur les places de stationnement “clientèle”.

  • Le Flop de Sandrine Mazetier (Députée du 12eme)

    Lu dans le Figaro Magazine du 9 Octobre

    Le Flop de Sandrine Mazetier (Députée de la 8eme circonscription - 12eme arrondissement)

    "Idéalisme ou angélisme . La secrétaire nationale à l'immigration du PS a présenté mardi 5 octobre un amendement accordant automatiquemet un titre de séjour à tout étranger en situation irrégulière présent sur le territoire depuis plus de 5 ans !"Maz.jpg

  • « 50.000 enfants sont victimes d'une emprise sectaire »

    Sc.jpgDans un entretien au Figaro, Georges Fenech, président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, alerte les familles. La mission publie jeudi un guide intitulé «La protection des mineurs contre les dérives sectaires». Dans notre arrondissement, nous connaissons bien ce problème avec la présence de l’Eglise de Scientologie, rue Jules César.

     

    Extrait :

     À combien estime-t-on le nombre d'enfants concernés par les dérives sectaires?

    Ils sont entre 50.000 et 60.000 touchés par ces dérives. Parmi eux, on en dénombre plus de 5000 particulièrement en danger car évoluant dans des cellules communautaires fermées.

    Y a-t-il un phénomène exposant particulièrement les enfants?

    De plus en plus de parents confrontés à la maladie touchant leur enfant se tournent vers des gourous thérapeutiques. Ces derniers leur parlent de «l'enfant élu, d'un être exceptionnel» et les somment d'arrêter la médecine conventionnelle. Internet ferre ces familles désespérées. En parallèle, il y a un véri­- table engouement pour ces médecines alternatives. Des psychothérapeutes autoproclamés proposent des solutions charlatanesques et exercent une emprise mentale. Notre prochain guide, destiné aux médecins et aux familles, portera sur ce phénomène.

    À quel autre phénomène la Miviludes reste attentive?

    2012 arrivant à grands pas, nous sommes vigilants à l'égard de tous les mouvements qui prônent l'apocalypse cette année-là. Nous leur consacrerons une étude publiée l'an prochain.

     

  • Propositions

    CR.jpgS’engager pour nos quartiers, c’est aussi être novateur au niveau des d’idées, consulter les riverains et ouvrir le débat.

    Nous vous proposerons différentes pistes de réflexions et d’actions pour l’avenir de nos quartiers.

    Ouvrir les espaces verts de la caserne Reuilly sur le quartier environnant, en abattant le mur aveugle de la rue de Reuilly et du boulevard Diderot. Engager avec l’Etat, propriétaire des lieux, une réflexion pour accueillir dans les bâtiments des logements sociaux, une crèche et prévoir la création d’une maison de soins palliatifs, structure qui fait cruellement défaut sur le territoire parisien.

    « Dans un premier temps, nous pourrions facilement demander à l’Etat de sécuriser les lieux et les bâtiments conservés et de donner libre accès à la grande cour déjà plantée d’arbres.

    Quelques réaménagements et plantations pourraient être réalisés à peu de frais, ceci permettant d’exploiter le lieu jusqu’à la mise en place d’un projet plus ambitieux au niveau des bâtiments.

    Les riverains de la caserne auraient de fait un espace vert agréable supplémentaire dans ce quartier.

  • Voies sur berges : pour la mise en place d'une vraie concertation

    VB.jpgBertrand Delanoë a dévoilé le 14 avril 2010 son projet d'aménagement des voies sur berges. Le maire de Paris propose un traitement différencié des deux rives. Concrètement, la rive gauche sera fermée à la circulation automobile sur plus de 2 km, de Solferino à l'Alma. La rive droite, cette "autoroute urbaine" sera transformée en un boulevard parisien équipé de feux rouges, où cohabiteront piétons, circulations douces et voitures. Voilà le projet… bien loin malheureusement de cette description idyllique. Cet espace urbain doit effectivement être repensé. Il n’est plus adapté à nos modes de vie. Mais de là à céder dans l’excès en fermant 2km de voies sur berges, nous pensons que ce projet n’est pas adapté au Paris du 21eme siècle. Une concertation va s’ouvrir. Nous nous en félicitons et souhaitons que les centristes parisiens prennent toute leur place dans ce débat, essentiel pour le développement de la capitale.

  • Sur le terrain

    Samedi, je me suis rendu à l’inauguration du marché de l’Aveyron, dans le quartier de Bercy. Beaucoup de monde et une ambiance sympathique. Pour mémoire, la première édition de cet évènement a eu lieu en l’an 2000, dans le quartier de Bercy, autour de l’Oustal.  En fin de matinée, je suis allé rendre visite à des habitants qui participaient au vide grenier de la rue de Wattignies.

     

  • A Paris, le centre doit enfin s’affirmer.

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    Après les élections régionales et le résultat décevant à Paris de la liste de la Majorité Présidentielle un constat s’impose : ou est passé le votre centriste à Paris ? Le centre, dans la capitale, et au-delà, doit de nouveau s’affirmer et retrouver toute sa place. Il doit s’adresser aux parisiens, à celles et ceux qui ne se sentent plus concernés par la politique, qui se sentent mis à l’écart et de la manière dont elle est exercée.

     

    Durant plus de 20 ans, les élus centristes parisiens ont été à la pointe de l’action publique avec, notamment le débat sur le statut de Paris en 1975. Depuis toujours, dans nos quartiers, les élus centristes, ont affirmés leurs convictions et ont largement inspirés la formidable transformation de la Ville de Paris. Notre action était alors un ensemble de valeurs autour de l’action sociale, de l’équité et de la justice où l’humain était placé au cœur de toutes nos préoccupations et particulièrement dans sa vie quotidienne. Aujourd’hui, cette approche de l’action publique n’existe plus. C’est pourquoi, à Paris, nous avons un défi à relever. Faire en sorte que nos convictions soient pleinement entendues dans les débats, dans nos quartiers.

     

    Quel est aujourd’hui la position des centristes sur le projet de fermeture des berges de la Seine, sur l’avenir de la petite ceinture dans les arrondissements de l’Est parisien, sur le réaménagement des Halles ? Que proposons-nous en matière de logement, pour la petite enfance, le développement durable…. Pour toute ces raisons, parce que nous souhaitons proposer aux parisiens un autre chemin, il est temps, dans le prolongement de l’appel lancé le 25 mars par l’Alliance centriste et le Nouveau centre de refonder la famille centriste. Grâce à cette structure indépendante nous pourrons nouer des alliances pour agir et gouverner tant au plan local que national.

     

    Mais, être indépendant, ça veut dire faire entendre nos convictions, expliquer nos choix et convaincre. Nous devons ensuite travailler sur le contenu, sur des propositions concrètes et proposer aux parisiens une vision pour le Paris du XXIe siècle. Avec des hommes et des femmes de terrain, vivant dans nos arrondissements, ayant la volonté d’agir nous pourrons dés lors proposer à nos administrés une alternative crédible et constructive.

  • Le rassemblement des centristes est en marche

     

    rc.jpgLa conférence presse qui s’est tenue le 25 mars, annonçant le rassemblement de tous les centristes, à l’initiative de Jean Arthuis (Alliance Centriste) et d’Hervé Morin (Nouveau Centre) est un élément important de la vie politique française. En effet, depuis 2007, le centre est cruellement absent du débat. Il est inaudible et peu convainquant. Il était temps que les centristes affirment, enfin, leurs convictions.

    Premier temps fort de cette initiative, cette union des centristes va redonner un espoir à ces millions de Français qui sont aujourd’hui orphelins. Le centre en France est une réalité. A nous de lui donner les moyens d’exister en affirmant nos convictions.  Cette démarche n’exclut pas de nouer, dans la clarté, des alliances autour d’un projet de société et d’une vision partagée. C’est même la logique de la Ve République. S’isoler n’aurait aucun sens. Affirmer notre penser, convaincre nos concitoyens et porter des idées neuves sont des démarches qui peuvent demain, faire gagner notre mouvement. C’est surtout une possibilité de faire vivre le débat, de confronter notre vision et de proposer un nouveau chemin pour notre pays mais aussi pour l’Europe. 

    Le deuxième temps fort sera de travailler sur le projet. Notre objectif est aussi (et surtout) de refaire vivre le débat, d’aller à la rencontre des Français et promouvoir nos valeurs humanistes, sociales et européennes.

    Enfin, le troisième temps fort sera d’offrir à chacun un mouvement politique ouvert, résolument tourné vers l’avenir. L’objectif n’est pas de faire revivre une famille politique car celle-ci, au niveau des idées et des Hommes, existe toujours. L’objectif est plutôt de lui donner, en ce début de XXIe siècle, un nouvel horizon, un cadre et de faire de la politique autrement.

    A Paris, comme ailleurs, le centre à toute légitimité à exister. Dans la capitale, il fut un acteur majeur de la vie politique. Plus que jamais, et au vu des dernières consultations, le centre à toute sa place dans nos quartiers. Il peut même être une alternative dans de nombreux arrondissements. Nous devons dés à présent nous organiser, reprendre notre place qui était la notre, fédérer les énergies, promouvoir nos convictions et démontrer, ensemble, que la ville de Paris n’est pas une forteresse imprenable. C’est, maintenant, une question de volonté.