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A découvrir - Page 2

  • Un appel à projet pour valoriser les kiosques parisiens

    5545228ac19d8kiosqie.jpgLors de la première édition du budget participatif à l’automne 2014, le projet « des kiosques pour faire la fête » a été plébiscité par les Parisiens. C’est pourquoi la Mairie de Paris a engagé la rénovation des kiosques dans les parcs et jardins pour les ouvrir pendant les beaux jours à toutes les pratiques et accueillir en plus de la musique, des activités culturelles autres (danse, théâtre, lectures, conférences…), mais aussi sportives ou pédagogiques.
    L’appel à projet est ouvert aux particuliers, aux associations, aux conseils de quartiers, aux établissements d’enseignement et aux gestionnaires d’équipements culturels ou sportifs. Pourront être proposés de la musique, des pièces de théâtre, des spectacles de danse, de mime, de marionnettes, d'arts de la rue, des démonstrations et pratiques sportives, des jeux ou tout autre projet d’animation et de spectacle. Les animations ou activités proposées doivent être gratuites pour le public et non rémunérées pour les participants.
    Les animations devront se dérouler pendant l’année 2016 dans un des 40 kiosques parisiens. Les projets pourront être proposés autour d’une date ponctuelle mais aussi pour des dates récurrentes toutes les semaines ou tous les mois.
    Les candidatures peuvent être déposées jusqu'au 25 janvier 2016 à 14h.

    Comment proposer un projet ?
    Avant de proposer votre candidature, consultez la carte des kiosques et leur fiche pratique. Vous y découvrirez la disponibilité du kiosque, sa surface, son accessibilité (avec un véhicule ou non), la possibilité d'avoir des chaises, la possibilité d'avoir un raccordement électrique.
    Les résultats seront communiqués début avril. Rendez-vous à partir du 15 avril pour le début des animations.
    Les 4 kiosques du 12e
    • Kiosque du square Trousseau
    • Kiosque de la place de la Nation
    • Kiosque du square Jean Morin
    • Kiosque du square Courteline

  • Dans le quartier de Reuilly pour échanger avec les habitants et les commerçants

    Image-1 (2).jpgSamedi je me suis rendu dans le quartier de Reuilly, dans les rues de Reuilly, Erard, Sergent Bauchat et boulevard Diderot. A cette occasion, j’ai pu rencontrer de nombreux riverains et habitants. Au cours de ces échanges, de nombreux sujets ont été abordés : les problèmes de circulations et de stationnement, l’avenir du marché Saint Éloi aujourd’hui en mal d’attractivité, la sécurité… Les problèmes de sécurité sont de plus en plus en plus nombreux. Ils restent persistants dans l’ilot Saint Eloi et place Maurice de Fontenay. Rue de Reuilly, de nombreux commerçants mais aussi riverains ont évoqué le marché Saint Éloi. Beaucoup souhaite le revitaliser. C’est effectivement une ambition pour le quartier qui ne possède pas d’autres marchés. De plus, celui-ci existe depuis des décennies et doit être modernisé afin d’attirer le maximum d’habitants. Une vraie réflexion avec les commerçants de la rue de Reuilly, le conseil de quartier, les riverains doit se mettre en place et proposer un espace commercial digne de ce nom. Je suis allé visiter un nouveau commerçant qui vient de s’installer près de la place Montgallet. J’en ai profité pour rencontrer des riverains de la rue de Reuilly. Ce quartier doit retrouver sa dynamique mais aussi sa fluidité notamment dans la circulation à l’approche de la place Félix Eboué. C’est en tout le cas le souhait de nombreux acteurs locaux rencontrés.

    Image-1.jpgAutre sujet : le haut du boulevard Diderot, entre la rue de Reuilly et la place de la Nation. Cette partie du boulevard reste déserte en terme d’activité, malgré la présence de très nombreux riverains. Si la rénovation du boulevard est une bonne chose, nous pouvons constater qu’aucune réflexion n’a été menée sur la façon de créer une dynamique locale.
    Square Saint Charles (rue de Reuilly) je me suis entretenu avec des gardiens sur l’ambiance du quartier. Concernant la vie locale de ce quartier, nous pourrions mettre en place souhaitons mettre en place une prestation de services appelée « Animation Locale », destinée à soutenir le développement de la vie sociale là où existe une forte demande des familles, des jeunes. La prestation pourrait financer des structures du type d'associatives dont les projets de proximité : répondent à la participation locale dans une approche collective, favorisent les solidarités de voisinage, les relations entre générations, les liens sociaux et familiaux, les échanges sociaux : s’inscrivent dans un enchaînement d’actions avec un fil conducteur, une dynamique et s’inscrivent dans la durée et prévoient une diversité et un enchaînement d’actions ouvertes à toutes les familles.
    Plus que jamais, c’est sur le terrain, en étant présent et avançant des idées innovantes que nous pourrons, demain, proposer une véritable alternative. Face à la crise actuelle, il est donc important de créer, dès à présent, dans nos arrondissements, une dynamique commune. Enfin, c’est en s’ouvrant sur la société civile, représentative de nos quartiers, travaillant depuis longtemps aux côtés des habitants, des associations et éloignée de tous calculs politiciens, que nous pourrons proposer un nouveau choix pour le 12eme et Paris avec des hommes et des femmes ancrés dans l’arrondissement

  • Samedi sur le terrain à la rencontre des habitants du 12eme arrondissement

    terrain2.jpgSamedi, j’ai assisté, comme tous les ans, à l’inauguration du marché de l’Aveyron. Créé il y a 16 ans, cet événement fait la promotion de l’Aveyron et de ses traditions culturelles et culinaires. Situé en plein cœur du quartier de Bercy, près de la maison de l’Aveyron, rue de l’Aubrac, ce sont des dizaines d’exposants qui durant 3 jours montrent leurs savoir-faire. J’ai, à cet occasion longuement échangé avec le président des Aveyronnais de Paris, mais aussi de nombreux habitants du quartier venus découvrir ce formidable marché. Une initiative remarquable, populaire et qui fait vivre un quartier durant tout un week-end ! Voilà encore un bel exemple d’attractivité pour notre arrondissement.

    Aprterrain1.jpgès un passage au « puces du design », place des vins de France, je me suis rendu place de la Nation. Une partie des équipes UDI était en effet sur le terrain pour se rendre compte du futur projet et aménagement. J’ai déjà évoqué sur ce blog nos convictions sur les prochaines transformations des places de la Nation et Bastille. Nous devons rester vigilants sur 3 choses :

    -       la mise en place de la concertation. Les différents conseils de quartier doivent être les moteurs de ces échanges. Il va aussi falloir y associer les riverains mais aussi et surtout les acteurs économiques.

    -       l’impact financier de ces projets. En effet, si l’objectif est autre de rajouter 3 arbres, inverser le sens de circulation et intégrer une piste cyclable, les budgets nécessaires pour la réaménagement de ces places est colossale. Pour mémoire, un article des échos en date du 28 février 2014 évoquait cette situation : «l'embellissement proposé de 6 places de Paris (de la Nation, de la Bastille, Denfert-Rochereau, Montparnasse, du Panthéon et d'Italie) pourrait représenter une dépense comprise entre 89 et 169 millions. Les chiffreurs ont analysé le travail réalisé place de la République. Les travaux avaient été inscrits à hauteur de 15 millions dans le budget primitif de la commune en 2011. Selon le journal « Le Moniteur », le coût total a atteint 24 millions en incluant les études préliminaires et la participation au renforcement du métro. ». et de prévenir que pour ces projets l’équipe en place va «devoir faire des choix cornéliens dans un contexte de baisse des dotations et de montée en puissance de la péréquation en Ile-de-France qui va conduire Paris à payer pour aider les collectivités moins riches. »

    -       dernier élément indissociable à ces 2 futurs aménagements, le devenir du Faubourg Saint Antoine.Pour être parfaitement clair, je pense que nous devons aussi mettre en place une véritable réflexion sur l’avenir de cet axe majeur qui rejoint ces 2 places. En effet, cette artère n’est plus que l’ombre d’elle-même (fermeture de boutiques, déménagement des sites attractifs comme "Le lieu du design"…).

     

  • Grève des éboueurs à Paris : la propreté doit enfin devenir une priorité à Paris

    CQsh4gTW8AAwtWW.jpgLes poubelles commencent à s’accumuler dans les rues de la moitié des arrondissements de la capitale dont le 12eme arrondissement. La grève des éboueurs de Paris, commencée lundi 5 octobre dans un arrondissement sur deux, a été reconduite mercredi. Environ 30 % des quatre mille neuf cents agents chargés de la propreté ont suivi mercredi l’appel de la Confédération générale du travail (CGT) contre le blocage des carrières et pour la revalorisation des salaires. Ils étaient 56,8 % lundi et 39 % mardi à suivre le mouvement, selon la Mairie. Lundi, la collecte n’avait pas du tout été effectuée dans cinq arrondissements et avait été perturbée dans cinq arrondissements. Quatre déchetteries avaient été bloquées dans la journée par quatre cents grévistes.

    Les syndicats CGT du nettoiement, des égouts, de TAM DPE (conducteurs de benne) doivent être reçus mercredi par la Mairie pour l’ouverture de négociations sur leurs revendications. La CGT a appelé à une manifestation jeudi à 14 heures au départ de la place de la République.

    Finalement  cette grève montre  la rupture profonde entre la maire de Paris et son personnel ouvrier. Il est temps que la ville engage une discussion globale afin que la propreté puisse redevenir une priorité à Paris.

  • Le Viaduc des Arts fête ses 20 ans

    0_1696---_LVDA20ANS_710x360.pngLa renaissance du Viaduc des arts est avant tout né d’une volonté politique des élus du 12eme, suivi par la Marie de Paris, dans les années 90. Ce fut un projet ambitieux et visionnaire. Il valorise aujourd’hui tout un quartier et ses habitants. Un exemple de réhabilitation unique à Paris.

    En 1990, la mairie de Paris décide de réhabiliter le lieu laissé à l’abandon depuis plusieurs décennies, en rénovant chacune des voûtes du viaduc de la ligne de Vincennes afin de les transformer en nouveau conservatoire parisien de l’artisanat d’art. Le viaduc est restauré par la SEMAEST (une des sociétés d'économie mixte de Paris) avec le concours de l’architecte Patrick Berger qui clôt chacune des voûtes par de grandes verrières cintrées de bois clair. Au-dessus, en lieu et place de l’ancienne voie de chemin de fer, se déroule une promenade plantée, faisant partie de la coulée verte qui relie la place de la Bastille au Bois de Vincennes. L’aménagement du viaduc des arts se termine en 1994. Il est enfin prêt pour l’implantation des différents ateliers, adossés maintenant au faubourg Saint-Antoine, haut-lieu de l’artisanat mobilier français.

    Chaque voûte est le lieu d’expression d’un talent et d’un savoir-faire, qui visible de la rue pour les passants, révèle une infinité de gestes fascinants avec leur part de tradition, d’héritage et d’invention. L’ouvrage, au rythme de la succession des voûtes, propose aux visiteurs et aux touristes de découvrir plus de 50 artisans d’art et des créateurs originaux. Rapidement les parisiens adoptèrent cette ancienne friche ferroviaire pour en faire un lieu privilégié des flâneries de fin de semaine.

    viaduc-des-arts-7cd9d.jpgSi la création du Viaduc des Arts est une réussite il doit aujourd’hui, et plus que jamais, être le point central de la création et de l’innovation de l’Est parisien. Notre arrondissement possède en effet toujours de nombreux artisans. Nous pensons que nous devons mettre en place une série d’action ayant pour objectifs de valoriser ces artisans mais aussi créer une dynamique pour accueillir celles et ceux qui souhaitent développer une activité dédiée aux métiers d’art. C’est la raison pour laquelle nous proposons de :

    -          créer un évènement grand public dédié à la création et aux métiers d’arts (ouverture des ateliers, parcours, rencontres, débat…)

    -          créer une dynamique avec les principaux acteurs (Ecoule Boulle, Lieu du design…) afin de mutualiser les moyens

    -          étudier la mise à disposition de locaux dans le périmètre Faubourg Saint Antoine / Avenue Daumesnil afin de faire venir de jeunes artisans et créateurs

    -          Créer « Les Talents du 12eme », manifestation qui met en valeur les artisans

    -          mettre en place tous les outils de communication afin de promouvoir nos artisans (communication digitale, réseaux sociaux)

    -     labelliser cette démarche avec une signalétique et une marque spécifique

     

    Le Viaduc des Arts, qui doit bien évidement ouvrir le dimanche, doit rester un pôle attractif de notre arrondissement mais aussi de tout l’Est Parisien.

  • Se garer à Paris va-t-il coûter encore un peu plus cher ?

    1148208_le-prix-des-places-de-parking-en-augmentation-web-tete-021284730301_660x440p.jpgLa Ville de Paris s'apprête-t-elle à augmenter les tarifs d'une vingtaine de parkings souterrains ? Une heure de stationnement pourrait coûter 4,60 euros. Le Conseil de Paris se prononcera à la fin du mois sur cette hausse des prix, qui pourrait entrer en vigueur le 1er juillet 2016.

     Cette hausse pourrait être de 4,60 euros de l'heure dans certains. Des délibérations doivent être présentées à la fin du mois au Conseil de Paris et indiquent que 24 conventions avec des parcs privés vont être changées. Elles permettront ainsi aux concessionnaires de revoir leurs tarifs horaires à la hausse. Pour mémoire, au mois de janvier, il y a eu une importante augmentation des tarifs du stationnement de rue : 4 euros de l'heure dans le centre de Paris, la carte de stationnement résident est devenue payante.... Et à l'époque un des arguments utilisés par la Ville, c'était de dire qu'il fallait augmenter le tarif en surface pour que ce soit plus attractif d'aller se garer en souterrain. De son côté, la ville de Paris explique qu’elle a "âprement négocié avec les concessionnaires pour que leur hausse du prix d'une heure pleine reste très limitée"….

    Quoi qu’il en soit, après la hausse du prix des PV de stationnement, celle du stationnement non résidentiel et maintenant les parkings, le message donné par la mairie est, pour ceux qui en doutaient encore, on ne peut plus clair : la voiture n’est plus du tout la bienvenue dans Paris.

  • Un téléphérique entre la gare de Lyon et la gare d’Austerlitz….. ???

    Rebelote…. ? Après Anne Hidalgo durant la campagne des municipales, c’est au tour de la RATP de se lancer dans ce projet….. Petit rappel : A l’occasion de la campagne électorale de mars 2014, l’association Oser Paris, association de promotion de Mme Hidalgo,  avait présenté  les 100 propositions issues d’un  « processus de démocratie participative ». Entre ces dizaines de propositions plus ou moins réalistes, l’une d’elles était particulièrement…croustillante : installer une télécabine entre la gare de Lyon, située dans notre arrondissement et la gare d’Austerlitz. A l’époque, je me posais la question comment, une candidate à la Mairie de Paris pouvait sérieusement envisager la création d’un tel équipement. La presse précisait  «Pour la liaison entre Austerlitz et gare de Lyon, on a imaginé la mise en place de sortes d'œufs au-dessus de la Seine, pour faciliter le transport des voyageurs», explique Jean-Louis Missika avec une certaine hésitation dans le ton »...et pour cause… . J’expliquai qu’à mes yeux, le pire dans l’histoire, c’est avoir « osé » évoquer cette proposition complétement farfelue. Nous espérions en avoir terminé, mais voilà que la RATP s’y met aussi. La Régie autonome des transports parisiens (RATP) vient de présenter un partenariat de recherche et développement autour des téléphériques urbains…… Tout cela n’est pas sérieux…

    Pour fluidifier le trafic devenu impossible en raison de la politique menée par l’actuelle majorité dans Paris, utilisons les transports en commun et créons, par exemple une liaison sur la Seine entre la gare de Lyon et la gare d’Austerlitz. Ou bien encore, développons sur le pont Charles de Gaulle, qui relie les 2 gares, une navette directe. Ce projet aura une incidence sur l'ensemble du quarteir des XV/XX.

    Et je ferai grâce ici des incidences budgétaires sur les finances de Ville de Paris. Que la majorité municipale se mette enfin à s’occuper des parisiens plutôt que de lancer des débats qui n’apportent rien à l’avenir de Paris et à l’amélioration de nos quartiers !

  • Le 2 juillet, 1ère édition du Pari des Libraires

    document.jpgJeudi  2 juillet à partir de 16h, l’association Paris Librairies lance,  la 1ère édition du « Pari des Libraires ».

    « Paris est la plus grande librairie du monde, vous avez donc à coup sûr une librairie près de chez vous. Pousser la porte d’une librairie et choisir d’y acheter vos livres, c’est construire votre ville de demain. Une ville de liens, de culture et d’échanges vivants. Une ville de liberté, de diversité. La librairie est un carrefour de rencontres et de connaissances ; choisir d’y entrer, c’est s’engager à préserver un lieu de partage, de découvertes et de conseils. C’est faire le choix de l’humain, c’est permettre un accès pour tous à la culture. Rencontres, débats, lectures, concerts, expositions, cela se passe à côté de chez vous… »

    Jusqu’à la nuit tombée, se tiendra ainsi, dans plus de 80 librairies indépendantes parisiennes, dont 5 dans le 12e, un évènement convivial promouvant l’activité de ces professionnels.

    Pour sa première édition, le Pari des Libraires a pour thème la Liberté, valeur fondatrice de la librairie indépendante.

    Librairies du 12e participant à l’opération

    • L’ARBRE À LETTRES - 62, rue du Fbg St-Antoine  - 01 53 33 83 23
    • CHARYBDE- 129, rue de Charenton - 09 54 33 05 71
    • GLADIEUX – AUTANT EN EMPORTE LE VENT - 80, rue du Rendez-Vous - 01 43 40 41 40
    • LA TERRASSE DE GUTENBERG - 9, rue Emilio Castelar - 01 43 07 42 15
    • LIBRAIRIE LA BRÈCHE - 27 rue Taine - 01 49 28 52 44

    Suivez l’événement et découvrez les librairies de votre quartier sur www.costo.paris , le réseau des commerçants connectés.

  • Projet d’installation de l’université Sorbonne Nouvelle –Paris3 dans le 12eme : une bonne nouvelle pour notre arrondissement et l’Est Parisien

    482125363.pngCe soir se déroule une réunion d’information concernant le futur projet d’installation de l’université Sorbonne Nouvelle –Paris3 dans notre arrondissement. Dans une note en date du mois d’octobre 2013 puis de mars 2015, nous nous félicitions de l’annonce du déménagement de l’université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, dans notre 12eme arrondissement. L'université va déménager à la rentrée 2018 dans des locaux neufs dans le 12e arrondissement de Paris. Ce bâtiment sera construit sur un terrain appartenant actuellement au ministère de l’agriculture. C’est donc un campus innovant et écologique de près de 35 000m² de surfaces nouvelles (SHON) qui sera construit au cœur du 12eme arrondissement répondre aux besoins de développement d’une université d’arts, lettres et langues et Sciences Humaines et Sociales Humaines et Sociales. Ce projet repose sur un plan de financement validé de 135 millions d’euros qui associera l’État et la Région Ile de France dans le cadre d’une maîtrise d’ouvrage publique. C’est l'architecte Christian de Portzamparc qui a été désigné le 22 septembre 2014 lauréat du concours pour la construction du pôle Nation de l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Cette prochaine arrivée va devenir un atout pour tout un quartier !

    Le 12eme ne sera pas le seul bénéficier de ces déménagements.

    En effet, la migration des universités et des écoles du Quartier latin vers l'Est parisien s’accèlere. D'ici à fin 2018, une grande partie des sciences humaines et sociales doivent aussi (dans le cadre du campus Condorcet) déménager à Aubervilliers et porte de la Chapelle. En discussion depuis des années, les deux projets entraîneront un déplacement de milliers d'étudiants et enseignants-chercheurs du centre de Paris vers l'Est parisien et le 93. Le projet Condorcet est le plus colossal des deux. Le campus sera installé sur 180.000 m2 de locaux des deux côtés du périphérique : une partie sur une surface de 1 hectare à Paris ; l'autre, sur 6 hectares, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Il accueillera une dizaine d'établissements dont une partie de la célèbre fac Panthéon-Sorbonne (Paris I), ainsi que les prestigieuses Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), Ecole pratique des hautes études (EPHE) et Ecole nationale des chartes. L'Institut national des études démographiques (Ined) et des laboratoires du CNRS seront également transférés à Condorcet. Après des années de polémiques, le campus est aujourd'hui sur les rails, avec un objectif clairement affiché : devenir un poids lourd (national et international) de la recherche en sciences sociales et humaines. Originalité, le projet Condorcet comprend plusieurs chantiers qui seront réalisés à la fois en partenariat public-privé et en maîtrise d'ouvrage publique suivant les équipements. La Région Ile-de-France apporte 148 millions d'euros, notamment pour la construction de la bibliothèque et d'un bâtiment pour l'EHESS. Reste maintenant à créer une dynamique commune avec l’université afin que l’ensemble de notre arrondissement profite de cette arrivée. Ce seront 18 000 étudiants qui, chaque jour, viendront dans le 12eme. Il faudra donc accompagner ce projet pour que les habitants et les commerçants soient, eux aussi, complétement concernés.

  • Semaine du handicap dans le 12eme arrondissement

    document.pngA partir du 8 juin et jusqu’au au 13 juin, la Mairie du 12e et ses partenaires vous invitent à découvrir les évènements de la « Semaine du Handicap » à travers l’arrondissement (Expositions, ateliers, projections, spectacles...).

    Organisée avec le Conseil Local du Handicap, cette Semaine, est un moment de rencontre entre les professionnels, le public et les personnes en situation de handicap, permettant ainsi à chacun de découvrir les actions et de faire évoluer le regard sur le handicap. Les activités sont accessibles à tous les publics et permettent de découvrir les structures ainsi que les actions qui favorisent l’accès de tous à l’éducation, à la culture et aux loisirs

    A cet effet, je suis très heureux que le Jardin d’enfant Danièle Pernin «Ecole Gulliver», rue des Pirogues de Bercy, soit un acteur important dans le monde de le handicap.  L’Association Pour l’Accueil de Tous les Enfants, l’A.P.A.T.E, a été fondée en octobre 1990. Sa vocation est de lutter contre l’exclusion des enfants pour cause de handicap ou de maladie en pratiquant l’intégration collective de ces enfants dans des établissements qu’elle crée et gère, l’A.P.A.T.E. Ces structures cherchent à réduire une inégalité de droit générée par l’inégalité naturelle provoquée par le handicap. 2 structures existent déjà dans notre arrondissement (rue Erard et rue des Pirogues de Bercy).

    Découvrez le programme en cliquant ici