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A découvrir - Page 4

  • Caserne de Reuilly : c’est dans le cadre d’un projet de ville global que l’ancienne caserne devra renaître.

     

     

    document.jpgLe site Internet dédié au projet d'aménagement de la caserne de Reuilly est mis en ligne depuis le mois de janvier : http://casernedereuilly.parishabitat.fr. Il sera, normalement,  mis à jour au fur et à mesure de l’avancée du projet, permettant ainsi de suivre au plus près l’actualité de la caserne.  Le site  donne accès au suivi en direct du chantier. 2 webcams, installées à proximité, transmettent des photos prises en temps réel.

    La caserne de Reuilly est une enclave importante au cœur de notre 12eme arrondissement.

    Je me suis toujours félicité de cette vente à la Ville de Paris. Un accord prévoit de réhabiliter la caserne par l'aménagement de 35 000 mètres carrés, soit 400 à 500 logements, dont la moitié seront consacrés au logement social, 20% au logement dit "intermédiaire" -à destination des classes moyennes- et 30% au secteur libre. La livraison des logements est prévue pour le second semestre de l'année 2017. C'est l'Office public de l'habitat "Paris Habitat" qui réalisera les logements sociaux et les logements intermédiaires, "alors que pour les logements libres, Paris Habitat procédera à un appel d'offre auprès d'investisseurs institutionnels", indique la mairie de Paris dans un communiqué. Concernant les futurs logements, aucune concertation avec les forces vives de notre arrondissement et les habitants du quartier n’a été faite. C’est dans la précipitation et l’improvisation que cet accord a été validé.

    Plus que jamais, je pense que sur ce type de projet, une concertation plus large doit être organisée. Nous devons engager une réflexion commune. L’idée est de créer un espace dynamique et rassembleur, ouvert à tous. Plusieurs pistes peuvent être avancées : la création d’une crèche, d’un équipement sportif, la création d’une maison de soins palliatifs, structure qui fait cruellement défaut sur le territoire parisien, un lieu dédié à l’innovation, un espace vert, et bien sûr, des logements sociaux et intermédiaires…. bref, les idées ne manquent pas, ni les besoins. Cependant, c’est dans le cadre d’un projet de ville global que l’ancienne caserne de Reuilly devra renaître.

  • 80 % des franciliens prêts à quitter la région Ile de France, motivés avant tout par la recherche d'une meilleure qualité de vie

    infographie-attractivit-des-rgions-2015-1-638.jpgPour saisir une opportunité professionnelle, plus de la moitié des salariés se disent prêts à changer de région. Et le constat est sans appel pour la région l’Île-de-France. Selon une étude du cabinet Michael Page, moins d'un Français sur cinq se dit séduit par... l'Île-de-France !  Attirés le plus souvent par des choix de carrière, les Franciliens se disent même prêts à 80 % à quitter la région, motivés avant tout par la recherche d'une meilleure qualité de vie (à 85 %). Le coût de la vie (immobilier, dépenses quotidiennes...)  est également évoqué par 57 % des candidats au départ, et les temps de transports trop longs. Les arguments avancés sont connus de longue date mais le niveau de «rejet» exprimé est inattendu.
    Le paradoxe c’est que dans le même temps,
    Entre la fin septembre 2013 et fin septembre 2014, la Ville de Paris s'est classée à la troisième place parmi les métropoles mondiales pour l'implantation d'investissements internationaux, derrière Londres et Shanghaï…. Ce décalage est Paris et la Région Ile de France est donc surprenant. Ces très mauvais chiffres concernant notre région se sont empirés par rapport aux études des années précédentes. La gestion de l’actuelle majorité, depuis 17 ans au pouvoir, s’est essoufflée. La création du grand Paris se perd un peu plus tous les jours dans les limbes d’intérêts personnels et administratif… Il est temps de donner de l’oxygène à l’Ile de France pour demain en faire la région phare (et sur tous les plans) de notre pays.

  • Police municipale à Paris : un projet porté depuis toujours par les centristes parisiens

    images2.jpgÀ la différence des autres communes françaises, la sécurité de Paris n’appartient pas au maire, mais au préfet de police. Cette particularité s’explique en partie par la centralisation dans la capitale de quasiment tous les leviers de commande de la nation, mais aussi par une sorte de tradition. Car c’est seulement en 1977 que des élections municipales y ont été organisées. Une loi de 1986 a cependant restitué au maire de Paris certaines responsabilités : la police de la voirie (salubrité de la voie publique, sécurité des foires, des marchés…) et la conservation du domaine public. Puis une loi de 2002 lui a aussi confié la police municipale en matière de bruits de voisinage et une compétence pour ce qui concerne la circulation et le stationnement (avec certaines restrictions).

    Le maire de Paris dispose d'ailleurs de fonctionnaires - auxquels on ne veut surtout pas donner le nom de policiers : les inspecteurs de sécurité de la Ville de Paris. Longtemps, ceux-ci se sont plaints d’être sous-employés. D’ailleurs, la contribution de la Ville a représenté près de 50% du budget de la préfecture de police…

    images.jpgEn août 2013, Anne Hidalgo déclarait sur Europe 1  "Je suis très opposée, à Paris, à la mise en place d'une police municipale" en expliquant que la coopération entre la Ville de Paris et la préfecture fonctionnait parfaitement bien…. Je suis persuadé que ces propos sont décalés et d’un autre temps. Et aujourd’hui le débat est simple : ou bien on laisse les choses en état, ou le parlement décide, enfin, de créer une véritable police municipale. Et il y a urgence car la construction de la métropole du Grand Paris appelle à un changement de gouvernance en matière de police. En outre, dès 2016, la ville fixera le montant des amendes de stationnement. Un pas de plus dans l'approfondissement de son pouvoir « décisionnel » de police, qui accentuera le grand écart entre autorité politique et financière municipale et autorité fonctionnelle préfectorale.

    Depuis des années, les centristes parisiens portent ce projet de création de police municipale à Paris. Ce sont les seuls, depuis 1977 et la création du statut actuel de Paris, à n’avoir changé d’avis.  La sécurité et la prévention au cœur de nos quartiers sont les 2 axes fort de cette réforme. Nous pouvons imaginer que l’ancrage des futurs agents de la police municipale dans chaque arrondissement pourra favoriser l'efficacité de leur action.

    La création de cette police doit automatiquement passer par un changement du statut de Paris. Il faut une nouvelle loi. Celle-ci sera d’autant plus simple à adopter si, bien entendu, les parlementaires sont convaincus de cette évolution. Les parlementaires centristes doivent porter ce projet, relayé par les élus parisiens.

  • Attractivité économique : le quartier de Bercy à la pointe !

    ParisBEvent.jpgPARIS B. EVENTS est un groupement qui a pour but de promouvoir le quartier de Bercy comme une destination capitale de tourisme d’affaires et de l’événementiel. Créé depuis 5 ans sous la forme d’un GIE, il regroupe  5 acteurs de l'événementiel et du tourisme d'affaires, tous implantés dans le quartier de Bercy (Les Salons de l’Aveyron , l’hôtel Pullman Paris Bercy, les Pavillons de Bercy - Musée des Arts Forains, l’hôtel Novotel Paris Bercy, l’hôtel all seasons Paris Bercy.)
    L’idée est partie d’un constat : 2000 événements réunissant plus de 700 000 personnes se déroulent chaque année dans ce quartier, au cœur de notre arrondissement. D’une réunion de 12 personnes à une soirée de 4000 invités en passant par l’organisation d’un dîner, ces évènements peuvent s’organiser à Bercy, grâce à la mutualisation des acteurs économique. Il existe effectivement une vraie complémentarité et des passerelles entre ces structures. Ce groupement, unique à Paris, est aussi l’occasion pour la Mairie d’avoir un interlocuteur privilégié afin de travailler avec lui sur les problèmes liés, par exemple, au stationnement. C’est donc un partenaire important qui, à nos yeux, dans le cadre de la concertation et du mieux vivre ensemble, doit prendre toute sa place dans le quartier. Cette attractivité « locale » peut aussi prendre de l’ampleur à condition, entre autre, que Bercy Village soit ouvert le dimanche.
    Je suis favorable au classement en zone PUCE (périmètres urbains d'usage de consommation exceptionnelle) qui permet à des commerces situés dans une zone géographique bien précise d’ouvrir le dimanche. Sur ce sujet, la Mairie de Paris et du 12eme, guidé par une dogmatisme fort ne souhaite pas créer cette zone. C’est un débat primordial pour l’attractivité de ce quartier. Bien évidemment, nous défendrons ce projet afin qu’un jour prochain, tous les commerces de Bercy Village ouvrent le dimanche !

  • A quand une vraie politique d’aménagement d’espaces verts dans le 12eme et à Paris ?

    escalier coulée verte.jpgEn 2014, la ville de Paris lançait un appel à propositions sur le thème « Du vert près de chez moi », invitant les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux : mobilier urbain, murs, espaces délaissés, etc. . 209 points de végétalisation ont été retenus ont été retenus pour Paris dont une petite vingtaine dans notre arrondissement. Les projets consisteront  en des plantations d’arbres, créations de murs végétalisés, d’implantations de jardinières en pleine terre, de pots ou de bacs… Après l’opération de communication en 2013 sur la biodiversité nous avons aujourd’hui l’opération bac à fleur en bas de mon immeuble….

    201211121052517532DSC00023_big.jpgTout cela est très bien et participe à l’amélioration de nos quartiers. Mais quand nous regardons d’un peu plus près la politique en matière d’aménagement d’espaces verts de la ville de Paris et notamment dans le 12eme, c’est une autre histoire. Je ferai grâce ici, à la majorité actuelle PS/PC/Verts, d'évoquer l'avenir de la petite ceinture. Depuis 2001 aucun projet d’aménagement.... 

    Comme tout le monde le sait le 12e est l’un des arrondissements les plus verts de la capitale. Grâce au bois de Vincennes bien sûr, mais aussi en raison de la réalisation de parcs et jardins significatifs. Toutes ces créations d’envergure ont été réalisées avant 2001. Le Parc de Bercy (14 hectares, créé entre 1993 et 1997) le jardin de Reuilly (15 200 m² - 1995), la Promenade plantée (3,7 hectares - 4,7 km de long, créée entre 1988 et 1993)… . En 10 ans ce sont donc plus de 160 000 m² d’espaces verts qui ont été aménagés. Il est vrai que notre arrondissement avait la chance d’avoir des zones importantes en friche et abandonnées. Ce fut donc une volonté politique forte, un souhait de mettre aux cœurs de nos quartiers la problématique environnementale alliée à celle de l’urbain, et enfin, le souhait de rendre l’ensemble de nos quartiers attractifs et conviviaux.

    3720446641.jpgDepuis 2001, date de l’entrée en fonction de l’actuelle majorité, reconduite en 2008 et 2014 on ne compte la réalisation que 4 sites significatifs - Brûlon-Citeaux, Debergue/Rendez-Vous, la réhabilitation du jardin Eugène Napoléon et un jardin bd de Picpus -  soit 9 800m² de création en 13 ans. 2 échecs flagrants avec l’absence de projets sur la petite ceinture et la pelouse de Reuilly. C’est une réalité chiffrée. C’est aussi une réalité politique. Nos quartiers seront toujours plus agréables à vivre avec des espaces verts de qualités, véritables poumons verts de proximité. Mais il est vrai que les élus verts et leurs alliés ont été plus préoccupés par la création d’aménagements urbains davantage idéologiques que réalistes ou mobilisés dans les occupations illégales de squat…

    Notre ambition reste plus que jamais le même: retrouver un équilibre de gris et de vert et proposer un aménagement de notre arrondissement en harmonie avec le développement tant urbain qu’économique et écologique.

  • Au cœur du quartier de Bercy, la cinémathèque doit un être un pôle d’attractivité pour notre arrondissement.

    cinematheque-francaise-paris-exterieur.jpgAssociation loi 1901, la Cinémathèque française a été créée en 1936 par Henri Langlois, Georges Franju, Jean Mitry et Paul Auguste Harlé. Elle est devenue au fil des ans l'une des archives les plus célèbres dans le monde grâce à la richesse de ses collections. Longtemps installée au palais de Chaillot, la Cinémathèque française occupe depuis septembre 2005 l'ancien bâtiment de l'« American Center » construit par l'architecte Frank Gehry, 51 rue de Bercy, en plein cœur du quartier de Bercy.  Lors de l'inauguration de la nouvelle Cinémathèque, Martin Scorsese a déclaré :« Les réalisateurs du monde entier connaissent la Cinémathèque française, même s'ils n'y sont jamais venus. C'est notre demeure spirituelle.

    En 2011, la Cinémathèque française a accueilli 518 000 visiteurs, ce qui constitue une hausse de 35 % par rapport à l'année 2010. L'exposition consacrée au cinéaste Tim Burton organisée du 7 mars au 5 août 2012 a accueilli 350 000 visiteurs. C'est une fréquentation record pour une exposition organisée à la Cinémathèque.

    La cinémathèque est un pôle d’attractivité unique pour notre arrondissement. Nous devons bien évidemment développer les partenariat entre le Ville et cette institution. Niché dans le superbe parc de Bercy qui est l’une des plus belles réalisations de Ville dans ce domaine (1993 – 1997), cet ensemble doit être capable d’attirer de nombreux parisiens, tout en conservant pour les riverains un quartier agréable à vivre.  Nous devons aussi promouvoir l’ensemble des activités (expositions, séances, découverte du lieu…) auprès des habitants du 12eme. En effet, un grand nombre d’entre eux ne sont jamais entrés dans la cinémathèque…

    Partez à la découverte de la Cinémathèque !

  • Paris et la région Ile de France ne font plus rêver les trentenaires

    untitled.jpgUne étude publiée par le magazine Challenge évoque la perte de vitesse de la ville de Paris mais aussi de la région Ile de France.

    En effet, d’après une étude de l’Insee et de l’Institut d’urbanisme d’Ile-de-France publiée en janvier, l’emploi y progresse moins vite depuis plusieurs années que dans les sept autres régions françaises qui comprennent plus d’un million d’actifs (Rhône-Alpes, mais aussi Paca, Nord-Pas-de-Calais, Pays de la Loire, Aquitaine, Bretagne et Midi-Pyrénées). “Le nombre de départs de l’Ile-de-France vers la province est très nettement supérieur à celui des arrivées de la province”, note ainsi les auteurs de l’étude “Ile-de-France à la page” .  L’écart se resserre, donc, entre Paris et la province. On estime à 200.000 le nombre de franciliens qui déménagent en régions chaque année. Car le problème numéro un, est bien celui du logement.  Le pouvoir d'achat immobilier des ménages franciliens a fortement baissé entre 1998 et 2010. En douze ans, la baisse atteint 39 % à Paris. En 2010, seulement 27 % des ménages parisiens étaient en capacité d'acheter un bien immobilier correspondant à leurs besoins à Paris, contre 44 % en 1998. Un taux de 44 % à Paris en 1998 signifie qu'à cette date 44 % de l'ensemble des ménages étaient en capacité d'acheter un bien immobilier adapté : un studio, T1 ou T2 pour un célibataire ou un T4 ou T5 pour une famille avec trois enfants, par exemple.

    Une région en perte de vitesse

     

    La région Ile-de-France fait aussi fuir beaucoup de trentenaires qui ont ou vont fonder une famille. En cause d’abord, le prix de l’immobilier, déjà beaucoup plus élevé qu’en province, qui a flambé de près de 20% depuis 2010 quand les salaires ont progressé nettement moins vite. “Un grand nombre de Parisiens n’en peuvent plus d’être pressés comme des citrons dans les transports, de vivre à un rythme effréné au travail ou encore d’habiter dans de petites surfaces avec des enfants”, observe Karl Rigal. En province, la qualité de vie est meilleure (…) »

    Derrière ces chiffres et ces tendances, c’est en fait du Grand Paris dont il est question. Il faut donner , maintenant, un sens au Grand Paris, sensibiliser d’abord les franciliens et faire en sorte que les politiques soient enfin les moteurs du Grand Paris. Ils doivent sortir de ces luttes d’influences et administratives….. Logement, infrastructures routières et ferroviaire, aménagement du territoire, dynamisme, création d’emplois… les sujets sont nombreux et globaux. C’est maintenant une question de volonté ! Ce sera, nous en sommes persuadé, la seule façon de faire de Paris et de l’ile de France, une région attractive dans laquelle il fera bon vivre !

  • Création d’espaces de travail « coworking » : encourager l’échange et la créativité.

    coworking.jpgA l’automne 2014, dans le cadre de la consultation sur le budget participatif, les Parisiennes et Parisiens ont voté pour le projet de création d’espaces de coworking étudiants – entrepreneurs. Le coworking est un type d'organisation du travail qui regroupe deux notions : un espace de travail partagé, mais aussi un réseau de travailleurs encourageant l'échange et l'ouverture.Le coworking est aussi né du besoin d’échange de la communauté grandissante des indépendants. Ils se retrouvent dans un espace où ils travaillent ensemble mais pour des clients distincts, dans un environnement stimulant, sans hiérarchie, sans compétition, sans politique et un cadre convivial. En 2008, il n’y en avait encore qu’un seul: La Cantine devenue en octobre dernier le Numa lors de son déménagement au 39 rue du Caire (2e). Il en existe aujourd’hui 66.

    Sans attendre ce vote sur le budget participatif, nous avions porté cette idée durant la campagne des élections municipales. Nous souhaitions, notamment, réutiliser une partie de l’ancien magasin Surcourf, avenue Daumesnil, pour créer ce genre de locaux.

    Ainsi, pour réaliser ces lieux de travail collaboratif (un budget de 2 millions d’euros est prévu), la Ville de Paris lance un appel à manifestation d’intérêt.
    Universités, écoles, associations, entreprises, incubateurs..., sont invités à présenter leurs projets d’ici le 27 février 2015 !

    Cet appel à manifestation d'intérêt s’adresse à des porteurs de projets finalisés ou à des structures ne disposant pas d’un projet abouti mais qui souhaitent valoriser un lieu en créant un coworking étudiants – entrepreneurs.

    Les porteurs de projets intéressés doivent envoyer leur dossier, par voie électronique (maud.berthier@paris.fr).

  • Festival du Merveilleux au musée des Arts Forains à Bercy

    document.jpgLe Musée des Arts Forains - Pavillons de Bercy ouvre ses portes, à partir du 26 décembre, et en continu à l'occasion du Festival du Merveilleux pour 10 jours de spectacles et de féerie.
    Une manière originale de célébrer les fêtes de fin d'années, en famille ou entre amis car cet événement s'adresse à tous.

    Ce Festival plonge les visiteurs dans un monde merveilleux et leur fait oublié leur quotidien.
    " Participer au Festival du Merveilleux, ce n'est pas seulement assister à un spectacle, c'est être acteur, se laisser emmener par une marionnette géante, s'émerveiller, repousser les limites de l'imaginaire, s'immerger dans un monde de rêve éveillé et vivre pleinement ses émotions " confie Jean-Paul Favand, le maître des lieux, qui a libéré le musée de ses vitrines et mis en scène ses milliers d'objets de curiosités tels des acteurs.

    Le spectacle sera partout dans les différents espaces des Pavillons de Bercy : dans la rue transformée en jardin poétique, au Musée des Arts Forains, au Théâtre du Merveilleux, dans les Salons Vénitiens et maintenant au coeur du Magic Mirror le nouvel espace.
    Tous ces lieux seront donc accessibles à la déambulation du public, lui permettant de découvrir l'une des plus grandes collections d'objets du spectacle et d'art forain

  • Dernier week-end de l’année sur le terrain, à la rencontre des habitants du 12eme arrondissement

    IMG_0698.jpgPour notre dernier week-end sur le terrain, nous étions dans le quartier de Reuilly et plus précisement dans les rues Erard, Charenton, Crozatier et avenue Daumesnil.  C’est un quartier que je connais trés bien pour y habiter depuis plus de 20 ans ! J’ai rencontré de nombreux habitants et commerçants. Plusieurs sujets ont été évoqués : le squatt de la rue Erard (ancienne clinique du bien naitre), le problème de stationnement rue de Charenton, l’insécurité mais aussi la futur installation d’un grand magasin de brocolage, avenue Daumesnil, à la place de l’enseigne “Surcouf”. Concernant ce dossier nous pensions que la municipalité devait travailler conjointement avec le secteur privé. Si les murs ne lui appartiennent pas, elle devait réfléchir, initier des rencontres, imaginer des perspectives et mettre en place une vraie concertation locale. Nous pensions que nous aurions pu, par exemple, intégrer cette surface dans le projet de « la Silicon Valley ». Réservé aux jeunes entreprises innovantes, cette surface pourrait héberger les startups de demain. Cela pouvait créer une attractivité non négligeable. L’objectif était  d’abord d’offrir un espace de travail, mais aussi des services dédiés aux conseils et à l’expertise. C'était un projet complet, créateur d'emploi, de dynamisme économique pouvant complétement relancer le quartier.  Bref, un projet en lien avec notre arrondissement, tournée vers l’avenir et l’innovation. Un autre choix a été fait. Reste maintenant à espérer que cela ne va pas entraîner des problèmes suppléméntaires concernant la circulation et le stationnement. J’attends aussi avec impatience la position de l’actuelle majorité municipale sur l’ouverture des magasins le dimanche. En effet, cette nouvelle enseigne est l’une des leaders de l’ouverture des magasins le dimanche…. Espèrons donc que la mairie, très satisfaite de cette installation sera logique jusqu’au bout en lui autorisant cette ouverture...

    noel reuilly.jpgEn fin d’après-midi, Je me suis rendu à la fête de Noël mise en place par l’association de locataires d’une résidence, rue de Reuilly. À cette occasion, j’ai rencontré les responsables de cette association et avons évoqué les problèmes existants. Cette démarche est extrêmement positive et les habitants étaient ravis. Autour d’un sapin de Noël et d’un buffet, chaque résident était invité à passer quelques instants pour partager un moment. Je suis toujours très heureux de participer à ces événements au cœur de nos quartiers, avec les riverains.

    Je reste, plus que jamais, persuadé que l'action politique se situe sur le terrain. Les habitants du 12ème veulent des hommes et des femmes engagés dans nos quartiers pour travailler et proposer ! C'est tout simplement rendre à la politique ses lettres de noblesse : servir la cité, notre 12e arrondissement.

    En 2015, nous proposerons de nombreuses actions afin de rassembler celles et ceux qui veulent, dans le rassemblement et l’union, agir pour préparer l’avenir de nos quartiers et de notre ville !

    Très bonnes fêtes de fin d’année !