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Paris - Page 2

  • #Municipales2020 - Pierre Yves Bournazel présente son équipe de campagne

    Article annonce équipe.jpgCe lundi matin pour sa conférence de rentrée le candidat Bournazel était entouré de plusieurs élus du groupe qu'il préside au Conseil de Paris mais aussi de nouvelles personnalités comme Benoît Pernin (fils de l'ancien maire centriste du XII e Jean-François Pernin), Isabelle Svanda, vice-présidente de l'association « Rêve de cinéma » mais aussi de proches d'un certain… Bertrand Delanoë.

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  • Saleté, rats, punaises de lit, embouteillages, délinquance... Paris, ville-poubelle

    Voilà la capitale d'une des premières puissances du monde confrontée à des problématiques que l'on croyait réservées à des pays en développement. Lire l'article de Marianne

  • Propreté à Paris : l'échec d'Anne Hidalgo et de sa majorité

    A lire dans le Parisien

    Propreté : la ville de Paris déploie-t-elle suffisamment de moyens ?

    7516785_55d0da8c-ffa2-11e7-912d-09b1c7ab1b02-1_1000x625.jpgDurant 7 mois, élus de droite et de gauche parisiens se sont réunis au sein d’une mission d’information et d’évaluation de la propreté de Paris. Leur rapport de 225 pages laisse apparaître une baisse des effectifs et des moyens dédiés à la propreté des rues.

    Ce mardi matin, Anne Hidalgo la maire (PS) de Paris doit présenter de nouveaux engins de nettoyage : des laveuses de trottoir et des modèles d’aspiratrice. Une opération de communication pour couper court aux critiques lancinantes sur la malpropreté de Paris ? Depuis plusieurs mois, la grogne monte sur le sujet dans la capitale. Et la prolifération de rats dans la ville n’arrange rien aux affaires de la mairie de Paris.

    Le rapport de la Mission d’information et d’évaluation (MIE) sur la propreté qui doit être rendu public la semaine prochaine, et que nous nous sommes procuré, pourra sans doute guider la ville dans les mesures à prendre pour endiguer la malpropreté. Cette MIE avait été demandée il y a un an par la droite parisienne. Durant 7 mois, élus de droite et de gauche se sont réunis autour de la table pour auditionner les différents services et intervenants. Objectif : évaluer les faiblesses du système et préconiser des pistes de travail pour enrayer les failles. Les élus ont émis une liste de 45 propositions pour « moins salir » la ville mais aussi « mieux nettoyer » les rues et mieux évaluer et organiser les ressources (lire ci-dessous).

    Lors de cette mission, l’absentéisme (13,13 % chez les éboueurs en 2016) dans le service de la Direction de la propreté et de l’eau a été pointé, tout comme les problèmes d’organisation dans la chaîne managériale et le manque de coordination qui peut parfois exister entre les différents services de la ville intervenant pour nettoyer les rues mais aussi les parcs et jardins.

    Mais les moyens déployés par la ville soulèvent aussi des questions. Si la synthèse du rapport souligne que les effectifs budgétaires du service technique de la propreté de Paris ont connu une augmentation de 200 emplois en 2016 et 2017, d’autres tableaux joints en annexe montrent que la DPE (Direction de la propreté et de l’eau) a perdu 1 111 postes depuis 2001, passant de 8 551 agents en 2001 à 7 440 en 2017.

    LIRE AUSI >Les Parisiens jettent leurs idées pour la propreté

    Sans parler du matériel qui arrive en bout de course. « L’indisponibilité des engins en raison de leur vieillissement accroît les difficultés de la mission de nettoiement », souligne clairement le rapport de la MIE. Entre 2010 et 2017, le nombre de laveuses de trottoirs est ainsi passé de 275 à… 248. « La maire de Paris n’a pas entendu la réalité des enjeux. Le rapport de la MIE montre clairement que le compte n’y est pas et que la ville doit déployer plus de moyens pour nettoyer la ville », tranche Florence Berthout, la patronne du groupe LRI au Conseil de Paris qui a présidé la MIE.

  • Statut de Paris : au coeur du Grand Paris, faire de notre capitale une ville toujours plus agréable à vivre, attractive et capable de rivaliser avec les grandes métropoles mondiales

    702773164.jpgDepuis octobre, les groupes politiques et les maires d'arrondissement travaillent sur la question de l’évolution du statut de Paris en collaboration avec la préfecture de police et la préfecture de Paris et de la région Ile-de-France. Cette réforme vise à une simplification administrative, à une nouvelle répartition des compétences entre l'Etat et la Ville et au renforcement du rôle des maires d'arrondissement. Elle nécessite une modification législative. Le Parlement se prononcera d'ici la fin de l'année.


    Paris possède un statut particulier à plus d’un titre. Notre ville a toujours attiré la méfiance du pouvoir étatique. Alors que le principe de l’élection du maire a été instauré définitivement pour toutes les communes par une loi de 1882, la cité parisienne n’élit son maire que depuis la loi du 15 décembre 1975 (premières élections municipales en 1977). Depuis l’arrêté du 12 messidor an VIII (1er juillet 1800), les compétences en matière de police restent, pour l’essentiel, assurées par un préfet de police, autorité étatique nommée en Conseil des Ministres. Paris connaît également un découpage en arrondissements ayant à leur tête un maire, en vertu de la loi du 31 décembre 1982. Les vingt maires d’arrondissement ne sont pas des maires de plein exercice, Paris ne connaissant qu’un seul maire, le maire de Paris élu par et parmi l’assemblée municipale délibérante qu’est le Conseil de Paris. Les mairies d’arrondissement ont un pouvoir d’avis (subventions, urbanisme), un pouvoir de décision concernant les équipements de proximité à vocation éducative, sociale, culturelle, sportive et d’information de la vie locale de l’arrondissement.
    La structuration "à étage" de la municipalité parisienne se retrouve dans le mode de scrutin. Les listes municipales parisiennes sont composées par arrondissement : les conseillers de Paris (siégeant à la fois au Conseil de Paris et au conseil de l’arrondissement où ils sont élus) constituent le début des listes de candidats d’arrondissements. Par ailleurs, Paris est à ce jour la seule commune à être également un département : le maire de Paris est ainsi président du conseil général, et le Conseil de Paris est à la fois conseil municipal et conseil général, disposant des deux séries de compétences. La création de la Métropole du Grand Paris et des ses conseiller fait aussi inévitablement évoluer le rôle de Paris dans cette nouvelle instance.
    La nécessité d’organiser les relations entre Paris et les collectivités territoriales de la "zone dense" (essentiellement la Petite Couronne) est apparue récemment. Pour répondre à des besoins nouveaux des habitants (logement, transports, développement économique, etc.), il va falloir imaginer de nouvelles mutualisations de services publics.
    Les prochains défis sont donc de plusieurs ordres :
    - comment rendre la Ville de Paris toujours plus agréable à vivre, attractive et capable de rivaliser avec les grandes métropoles mondiales ?
    - comment créer une Ville avec un fonctionnement moderne, humain, efficace et acceptable par tous
    - comment, enfin, incarner, demain, la Ville de Paris et au-delà, le Grand Paris.

    A titre personnel, je suis pour une véritable refonte avec 3 grands axes :
    - L’élection au suffrage universel direct du maire de Paris
    - L’évolution de ses prérogative en matière de police
    - Donner au maire un véritable pouvoir économique


    Cette réflexion passe donc par un véritable débat sur le statut de Paris qui ne peut pas être absent de la future réforme territoriale. Et cette thématique doit être portée par les centristes, complétement légitime sur cette question. En effet, durant plus de 20 ans, les élus centristes parisiens ont été à la pointe de l’action publique avec, notamment le débat sur le statut de Paris en 1975 créant un maire à Paris..

  • Commerces de proximité : la ville de paris semble, enfin, s’y intéresser !

    FullSizeRender (7).jpgLe Conseil de Paris a lancé l'élaboration du Contrat de Revitalisation artisanale et Commerciale (CRC). Ce nouvel outil contribuera à la sauvegarde et au développement du commerce et de l’artisanat de proximité dans plusieurs quartiers du 12e : Daumesnil-Montgallet et Saint-Mandé-Picpus.


    Enfin ! Après avoir négligé durant des années le commerce de proximité, la ville de Paris semble s’y intéresser. Ce dispositif permettra à la Ville de Paris de réaliser la préemption de locaux commerciaux et la réimplantation de commerces et d’artisans dans les zones géographiques les plus concernées par la disparition des commerces, la vacance prolongée de locaux commerciaux, ou la mono-activité, notamment dans les quartiers populaires.
    En effet, d’importants recoupements apparaissent entre ces secteurs et les périmètres situés en Politique de la ville, dans les quartiers GPRU et aux portes de Paris. Une intervention dans ces secteurs est dès lors primordiale.
    La Ville de Paris propose ainsi de participer en ligne, jusqu'au 10 février 2016, à la co-construction de ce nouveau dispositif en parallèle des réunions publiques de concertation dans les mairies d’arrondissement concernées par les périmètres.

    IMG_4478.jpgPour le 12e arrondissement, cette réunion aura lieu le mardi 9 février 2016 à 18h30 en salle des fêtes de la Mairie.
    L’objectif de ce formulaire est que les habitants participent à l’identification des différentes problématiques liées au commerce dans les périmètres concernés : les éventuelles carences, la vacance commerciale, ou les surreprésentations de certaines activités qui ne contribuent pas à l’animation des quartiers.
    À l’issue de la concertation, un bilan sera réalisé qui permettra d’alimenter le cahier des charges du futur contrat de revitalisation commerciale. La procédure d’attribution du contrat sera lancée au printemps prochain. Il est cependant regrettable qu'à aucun moment, le digital n'est été pris en compte. L'expérience réalisé dans le 9eme arrondissement avec le concept "Ma rue connectée" est très intéressante. Cela montre malheureusement bien le décalage entre les élus et les attentes des habitants.

    Pour mémoire, voici nos propositions pour le commerce de proximité :
    Promouvoir le commerce de proximité en créant une commission extra-municipale pour le commerce et l’artisanat qui se réunira une fois par trimestre à la mairie du 12ème. Lutter contre la monoactivité par le biais des permis de construire et du droit de préemption.

    IMG_7576.jpgInutile de rappeler la nécessité de nos commerces de proximité, fédérateurs en matière sociale et économique.
    Il ressort une attente forte de ces commerces par les riverains, la suppression de ces boutiques de première nécessité (boutiques de bouche) est une mort à moyen terme de nos rues.
    En luttant contre la mono-activité, principalement dans notre 12ème - informatique et agences bancaires - en infiltrant les commerces vitaux, nous recréerons ainsi “l’ambiance village”.
    Aussi, nous devrons apporter notre aide aux jeunes sortis des écoles d’apprentissage (exemple : Ecole de boucherie – Boulevard Soult) en partenariat avec les Chambres de Commerce et des Métiers, en créant dans les secteurs du 12ème, manquant de commerces de bouche, des marchés couverts (en exemple avec celui de la Place d’Aligre – Marché Beauveau).
    La Mairie doit accompagner le développement de ces “jeunes commerces” par un suivi trimestriel, assisté d’acteurs économiques (Ville de Paris – Région – Consultants).
    Nous devons également apporter une aide financière et logistique aux Associations de commerçants, afin de développer l’attractivité commerciale, en particulier dans les quartiers défavorisés, avec une étude sur les places de stationnement “clientèle”.

  • Un appel à projet pour valoriser les kiosques parisiens

    5545228ac19d8kiosqie.jpgLors de la première édition du budget participatif à l’automne 2014, le projet « des kiosques pour faire la fête » a été plébiscité par les Parisiens. C’est pourquoi la Mairie de Paris a engagé la rénovation des kiosques dans les parcs et jardins pour les ouvrir pendant les beaux jours à toutes les pratiques et accueillir en plus de la musique, des activités culturelles autres (danse, théâtre, lectures, conférences…), mais aussi sportives ou pédagogiques.
    L’appel à projet est ouvert aux particuliers, aux associations, aux conseils de quartiers, aux établissements d’enseignement et aux gestionnaires d’équipements culturels ou sportifs. Pourront être proposés de la musique, des pièces de théâtre, des spectacles de danse, de mime, de marionnettes, d'arts de la rue, des démonstrations et pratiques sportives, des jeux ou tout autre projet d’animation et de spectacle. Les animations ou activités proposées doivent être gratuites pour le public et non rémunérées pour les participants.
    Les animations devront se dérouler pendant l’année 2016 dans un des 40 kiosques parisiens. Les projets pourront être proposés autour d’une date ponctuelle mais aussi pour des dates récurrentes toutes les semaines ou tous les mois.
    Les candidatures peuvent être déposées jusqu'au 25 janvier 2016 à 14h.

    Comment proposer un projet ?
    Avant de proposer votre candidature, consultez la carte des kiosques et leur fiche pratique. Vous y découvrirez la disponibilité du kiosque, sa surface, son accessibilité (avec un véhicule ou non), la possibilité d'avoir des chaises, la possibilité d'avoir un raccordement électrique.
    Les résultats seront communiqués début avril. Rendez-vous à partir du 15 avril pour le début des animations.
    Les 4 kiosques du 12e
    • Kiosque du square Trousseau
    • Kiosque de la place de la Nation
    • Kiosque du square Jean Morin
    • Kiosque du square Courteline

  • Grève des éboueurs à Paris : la propreté doit enfin devenir une priorité à Paris

    CQsh4gTW8AAwtWW.jpgLes poubelles commencent à s’accumuler dans les rues de la moitié des arrondissements de la capitale dont le 12eme arrondissement. La grève des éboueurs de Paris, commencée lundi 5 octobre dans un arrondissement sur deux, a été reconduite mercredi. Environ 30 % des quatre mille neuf cents agents chargés de la propreté ont suivi mercredi l’appel de la Confédération générale du travail (CGT) contre le blocage des carrières et pour la revalorisation des salaires. Ils étaient 56,8 % lundi et 39 % mardi à suivre le mouvement, selon la Mairie. Lundi, la collecte n’avait pas du tout été effectuée dans cinq arrondissements et avait été perturbée dans cinq arrondissements. Quatre déchetteries avaient été bloquées dans la journée par quatre cents grévistes.

    Les syndicats CGT du nettoiement, des égouts, de TAM DPE (conducteurs de benne) doivent être reçus mercredi par la Mairie pour l’ouverture de négociations sur leurs revendications. La CGT a appelé à une manifestation jeudi à 14 heures au départ de la place de la République.

    Finalement  cette grève montre  la rupture profonde entre la maire de Paris et son personnel ouvrier. Il est temps que la ville engage une discussion globale afin que la propreté puisse redevenir une priorité à Paris.

  • Les commerces de Bercy Village ouvriront le dimanche : un cinglant désaveu pour la majorité municipale parisienne et du 12eme

    bercyvillage.jpgLe journal le Monde annonce aujourd’hui la création de 12 zones touristiques internationales dans Paris. Elles pourront ouvrir le dimanche et le soir juqu’à minuit. Bercy Village, dans notre arrondissement est concerné. C’est un cinglant désaveu pour la Maire de Paris et la Maire du 121eme, toujours opposées à cette ouverture. Ci-dessous, l’article du Monde

    « Fin de partie. François Hollande a tranché. Lors d’ultimes arbitrages intervenus en début de semaine, l’exécutif a décidé qu’il y aurait bien douze zones touristiques internationales (ZTI) à Paris, où les commerces pourront ouvrir le dimanche et tous les soirs jusqu’à minuit. Le décret fixant ces ZTI et les critères d’éligibilité a été publié jeudi 24 septembre dans la matinée.

    Ces ZTI sont issues du projet de loi adopté laborieusement mais définitivement par le Parlement le 10 juillet, qui augmente de cinq à douze le nombre d’ouvertures les dimanches autorisés dans l’année. Des ZTI, il n’y en aura pas qu’à Paris : Deauville (Calvados), Cannes (Alpes-Maritimes) et Nice sont aussi concernés.

    Selon la carte de Paris, validée par le premier ministre, Manuel Valls, mercredi, ces périmètres ont subi quelques retouches après la phase de consultation achevée le 15 septembre. Ainsi les zones englobant les centres commerciaux Italie 2 (13e arrondissement de Paris) et Beaugrenelle (15e), qui avaient suscité de nombreux doutes, tant politiques que syndicaux, sur leur fréquentation internationale, sont conservées.

    « J’ai même été maltraitée »

    Dans le 15e, une partie de la rue Saint-Charles a été intégrée à la zone Beaugrenelle, comme l’avenue de Wagram dans la zone Maillot-Ternes (17e) En revanche, pour ne pas déséquilibrer le petit commerce local, le boulevard Barbès a été retiré du secteur Montmartre, tout comme la place de la République, sortie de la zone Marais qui a été élargie. En tout, « c’est près de 3 000 points de vente, dont plus de la moitié en surface destinée à l’équipement de la personne, qui vont pouvoir ouvrir alors qu’on était à 400, indique Claude Boulle, président exécutif de l’Union du commerce de centre-ville (UCV). C’est 10 % du commerce parisien et 5 % du territoire de la ville. »

    La situation s’était tendue dernièrement. La maire de Paris, Anne Hidalgo, ayant affirmé dans Le Parisien du 4 septembre ne pas avoir « été entendue dans cette affaire par Emmanuel Macron [le ministre de l’économie]. J’ai même été maltraitée. » Elle lui avait adressé une lettre, dans laquelle, elle évoquait ce « fantasme d’une ville entièrement dédiée au consumérisme » et « une méconnaissance du tissu commercial parisien ». Les réunions de concertation « avec Bercy ont été rompues unilatéralement par le cabinet du ministre de l’économie avant l’été », affirme Mathias Vicherat, directeur de cabinet de Mme Hidalgo.

    Les réunions de concertation « avec Bercy ont été rompues unilatéralement par le cabinet du ministre de l’économie avant l’été ».

    Jeudi dans Le Parisien, M. Macron a répondu sans ménagement : « Si elle avait été en capacité d’ouvrir les commerces le dimanche dans les zones les plus attractives, nous n’aurions pas eu à mener cette réforme. Elle n’a pas souhaité que nous échangions. C’est son choix, ajoute-t-il. Je comprends que les équilibres politiques de la Ville de Paris aient rendu impossible pour sa maire de conduire cette évolution, mais ce n’est pas mon débat », assène-t-il.

    Des bribes de pouvoir accordés à Paris

    Le président de la République a donc arbitré en faveur de son ministre de l’économie sans un seul regret. Il considère que les débats sur la loi pour la croissance ont été suffisamment longs au Parlement pour permettre aux députés de Paris de se faire entendre. L’Elysée rappelle que Mme Hidalgo a été consultée par Bercy sur les ZTI ainsi que les maires d’arrondissement. Et que certains d’entre eux se sont montrés mieux disposés qu’elle sur des évolutions de l’ouverture dominicale"

  • Se garer à Paris va-t-il coûter encore un peu plus cher ?

    1148208_le-prix-des-places-de-parking-en-augmentation-web-tete-021284730301_660x440p.jpgLa Ville de Paris s'apprête-t-elle à augmenter les tarifs d'une vingtaine de parkings souterrains ? Une heure de stationnement pourrait coûter 4,60 euros. Le Conseil de Paris se prononcera à la fin du mois sur cette hausse des prix, qui pourrait entrer en vigueur le 1er juillet 2016.

     Cette hausse pourrait être de 4,60 euros de l'heure dans certains. Des délibérations doivent être présentées à la fin du mois au Conseil de Paris et indiquent que 24 conventions avec des parcs privés vont être changées. Elles permettront ainsi aux concessionnaires de revoir leurs tarifs horaires à la hausse. Pour mémoire, au mois de janvier, il y a eu une importante augmentation des tarifs du stationnement de rue : 4 euros de l'heure dans le centre de Paris, la carte de stationnement résident est devenue payante.... Et à l'époque un des arguments utilisés par la Ville, c'était de dire qu'il fallait augmenter le tarif en surface pour que ce soit plus attractif d'aller se garer en souterrain. De son côté, la ville de Paris explique qu’elle a "âprement négocié avec les concessionnaires pour que leur hausse du prix d'une heure pleine reste très limitée"….

    Quoi qu’il en soit, après la hausse du prix des PV de stationnement, celle du stationnement non résidentiel et maintenant les parkings, le message donné par la mairie est, pour ceux qui en doutaient encore, on ne peut plus clair : la voiture n’est plus du tout la bienvenue dans Paris.

  • Le marché couvert Beauvau, place d’Aligre, en partie détruit par un incendie

    IMG_3290.jpgTôt  lundi matin, une partie du marché alimentaire couvert Beauvau, situé place d’Aligre, a été endommagé par un incendie. Appelés peu avant 4 heures, cinquante pompiers armés de cinq lances à incendie ont mis une heure à maîtriser le feu qui a endommagé 200 m2 sur les 2 000 m2 que compte le bâtiment mais aussi une partie de la toiture côté place d’Aligre. Le sinistre n’a fait aucun blessé. Inscrit au titre des monuments historiques, le marché Beauvau bâti en 1843 est donc fermé jusqu’à nouvel ordre.

    L’incendie s’est déclaré à l’intérieur de la halle couverte chez l’un des commerçants avant de se propager à une partie la toiture et trois commerces ont été touchés.

    IMG_3249.jpgJe me suis donc rendu mardi soir place d’Aligre afin de rencontrer les commerçants mais aussi les riverains. Au-delà de l’émotion que suscite cet incendie auprès des riverains du quartier, se pose aujourd’hui un vrai problème concernant l’organisation de ce marché. En effet, le marché couvert risque de rester fermé plusieurs semaines. Il va donc falloir le réorganiser. Pour mémoire ce marché est le seul de la capitale à se tenir six jours sur sept. C’est aussi pour notre arrondissement un lieu particulièrement attractif. Je souhaite que très rapidement la mairie du 12eme soit force de proposition afin que vive ce formidable marché !